viernes, 23 de agosto de 2024

Dalmas I, seigneur de Semur ★Bisabuelo n°19M,SEÑOR★ Ref: SS-0960 |•••► #FRANCIA 🇫🇷🏆 #Genealogía #Genealogy


 19° Bisabuelo/ Great Grandfather de: Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo →Dalmas I, seigneur de Semur is your 19th great grandfather.

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(Linea Materna)
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Dalmas I, seigneur de Semur is your 19th great grandfatheof
→(1) Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo
→(2)  Morella Álamo Borges (your mother) 
→(3) Belén Eloina Borges Ustáriz (her mother) 
→(4) Belén de Jesús Ustáriz Lecuna (her mother) 
→(5) Miguel María Ramón de Jesús Uztáriz y Monserrate (her father) 
→(6) María de Guía de Jesús de Monserrate é Ibarra (his mother) 
→(7) Teniente Coronel Manuel José de Monserrate y Urbina (her father) 
→(8) Antonieta Felicita Javiera Ignacia de Urbina y Hurtado de Mendoza (his mother) 
→(9) Isabel Manuela Josefa Hurtado de Mendoza y Rojas Manrique (her mother) 
→(10) Juana de Rojas Manrique de Mendoza (her mother) 
→(11) Constanza de Mendoza Mate de Luna (her mother) 
→(12) Fernando Mathé de Luna (her father) 
→(13) Juan Fernández De Mendoza Y Manuel (his father) 
→(14) Fernando Díaz de Mendoza (his father) 
→(15) Alvar Diaz de Mendoza (his father) 
→(16) D.Pedro Diaz Hurtado Mendonza (his father) 
→(17) Leonor Hurtado Fernández de Lara, Señora de Mendivil (his mother) 
→(18) Fernando Furtado Pérez de Lara, señor de Escarrona (her father) 
→(19) Urraca I, reina de Castilla y León (his mother) 
→(20) Constance de Bourgogne, Queen consort of Castile and Leon (her mother) 
→(21) Hélie de Semur, duchesse consort de Bourgogne (her mother) 
→(22) Dalmas I, seigneur de Semur (her father)
 
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Dalmace de Semur, I MP 
Gender: Male
Birth: estimated between 960 and 962 
Death: circa 1048
Murdered
Immediate Family:
Son of Geoffroy de Semur, Seigneur de Semur and NN de Brioude
Husband of Aremburge de Vergy
Father of Hélie de Semur, duchesse consort de Bourgogne; Mathilde de Semur; Adélaïde de Semur; Cécile de Semur; Hugues de Semur, abbot of Cluny and 4 others
Brother of Renaud de Brioude
Half brother of Geoffroy I de Semur, baron de Donzy; Eudes, de Donzy; Herve de Semur, de Donzy; Thibault de Semur, comte de Châlon and Lambert de Sémur, count of Vaud 

Added by: Flora Aurima on July 14, 2007
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Asesinado por su yerno Robert.

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Dalmace I, llamado el Grande, sexto barón de Semur.

La casa de Semur creció y alcanzó su máxima gloria y poder, en el momento en que Dalmaces I fue llamado a reinar, a principios del siglo XI. Así, los numerosos escritores que han hablado de él no se limitan nunca a pronunciar el nombre de este señor pura y simplemente; A ella siempre se añaden los elogios de su nacimiento y de su gran posición en el siglo.

Hildebert, disciple de saint Hugues, puis évêque du Mans et mort archevêque de Tours, en parle en ces termes, au début de la vie du saint abbé de Cluny : « Dalmatius pater ejus, vir scilicet consularis ... » Il venait d'écrire, trois lignes plus haut : « Hugo, generosis parentibus illustris ... » [1]
Jean de Paris, dans son mémorial historique : « Memoriale historiarum », écrit ceci, à l'an 1109 : « Hoc anno obiit Hugo, Cluniacensis abbas ... Pater ejus Dalmatius, vir consularis et bellicis rebus intentus ...»
Dom Georges de Burin, archiviste de Cluny, dit à son tour : « Sanctus Hugo de Semur, primus hujus nominis, illustri Sinemurorum sanguine et prosapia natus, filius Dalmatii primi hujus nominis, Toparchae de Sinemuro, et Aremburgis de Vergy ...» [2]
« Toparchae » et « vir consularis » renferment essentiellement le sens et l'idée de seigneur ou prince souverain, dans le pays qu'il gouverne. Jean de Paris, on vient de le voir, nous le montre comme un personnage formé et instruit dans l'art militaire : « Bellicis rebus intentus. » Hildebert du Mans en parle de même en ces termes, à l'occasion de l'enfance de saint Hugues : « At pater haeredem transitoriae possessionis desiderans, saecularis militiae insignia puero destinabat. Unde cum jam pupillares annos attigisset, eum cum coavis urgebat equitare juvenibus, equum flectere in gyrum, vibrare hastam, facile clypeum circumferre; et, quod ille altius abhorrebat, spoliis instare et rapinis.» [3]
Ce texte reviendra plus loin, quand nous aurons à exposer les usages et les occupations journalières des seigneurs d'alors.
[1] Bibliotheca Cluniae col. 414, B. C. [2] Necrologium lustoricum Cluniac. Eloge de saint Hugues. [3] Biblioth. Cluniae. col 415, A

Dalmace se casó a temprana edad con una gran dama, digna de él por su nacimiento, sus cualidades y sus virtudes, Aremburge de Vergy. Ya hemos visto lo que era la casa de Vergy. De este matrimonio nacieron los hijos de los que se deriva la nomenclatura histórica.

1° Helie de Semur (otros la llaman erróneamente Elvie y Hermegarde) [1] era la mayor. Se casó con el joven príncipe Roberto de Francia, hijo del buen rey Roberto, conocido como el Santo [2]. Es indudable que después de esta alianza el conde Dalmace y su familia tuvieron su entrada familiar en la corte de Francia. Es igualmente evidente que este matrimonio debió llevar al hijo del rey muchas veces a la residencia feudal de su suegro, especialmente cuando se convirtió en el primer duque hereditario de Borgoña, en 1032, por la cesión que le hizo su hermano Enrique I, al ascender al trono de Francia, en lugar de su padre. Tenemos pruebas materiales de las visitas del duque y la duquesa de Borgoña a Semur, en la circunstancia arqueológica citada por Courtépée, de que el sello de la duquesa se encontró en Semur y en el castillo, en el siglo XVII. Había una figura de una mujer con esta leyenda: "Sigillum uxoris Roberti".

[1] Chazot, Généalog histor. en-4°, t IV, p. 62. [2] Chazot, Tablillas históricas, t. I, p. 151 [3] Courtépée, Historia abreviada del ducado; Dijon, 1777, p. 209. [4] Description de Bourgogne, 1ª ed. t. IV, p. 179.

2° Geoffroy, tercero del nombre, que continuará la serie de barones de Semur. (3) San Hugo de Cluny, cuyo nombre e influencia llenan la historia del siglo XI.

4° André de Semur, lequel se donna pareillement à l'Eglise, mais dont on ignore la destinée. Il vivait encore en 1063, car il était présent à la donation des terres et seigneurie de la Roche-Millay, dans le Morvan, faite en cette année par son frère aîné Geoffroy au prieuré de Marcigny.
5° Joceran de Semur, cruellement assassiné à la fleur de l'âge. A cette douloureuse occasion, saint Hugues fit éclater à la fois et sa tendresse pour ce frère infortuné et l'admirable générosité de sa foi. Le meurtrier, autant pour échapper aux recherches de la justice et à la vengeance du siècle, que poussé par les remords de sa conscience et par un profond repentir, vint secrètement à l'abbaye de Cluny, confessa son crime au saint abbé, qui eut le courage et la vertu de lui accorder son pardon et de l'admettre à la profession religieuse. [1]
6° Dalmace le jeune, qui fut la tige des seigneurs de Montaigu, d'Oyé et de Trémont. Il est souvent fait mention de Dalmace le jeune, dans les chartes de Geoffroy III, son frère. J'ignore le nom et la maison de sa femme de laquelle il eut deux fils : Renaud de Semur, seigneur de Montaigu après son père ; et Hugues de Semur qui fut abbé de Saint-Germain d'Auxerre, puis évêque de cette ville où il mourut en 1136 [2]. Le moine Robert lui consacre ce court éloge : « Antissiodorensem hoc tempore regebat ecclesiam domnus Hugo, sancti Germani prius abbas, sancti Hugonis Cluniacensis abbatis nepos ; vir pro virtutum suarum insignibus perpetuo memorandus. » [3]
7° Adélaïde de Semur, mariée au baron de Châtel-Montagne en Bourbonnais. Elle avait eu pour dot la seigneurie de Vitry-lès-Paray, avec de grands biens à Briennon. Adélaïde de Semur se fit bénédictine à Marcigny, en 1066 [4], après le décès de son mari, à moins que ce puissant seigneur n'ait été un de ces trente illustres fugitifs du monde qui, un beau jour abandonnant leurs familles, entrèrent ensemble au monastère de Cluny. C'est pour ouvrir un asile à leurs femmes et à leurs filles que saint Hugues avait fait sa fondation de Marcigny en 1056. En entrant dans ce monastère, Adélaïde, du consentement de Pierre de Châtel, son fils, fit à Marcigny de notables donations sur Vitry et sur Briennon. [5]
[1] Biblioth. Cluniae col. 430, B [2] Galia Cristo en los obispos de Auxerre. [3] Chronicon S. Mariant, ad annum 1120 [4] Cluny en el siglo XI, 2ª ed. p 233 [5] Genealogía inédita de M. de Reffye.

8.º Matilde, casada con Guichard de Borbón, señor de la Motte-Saint-Jean, donde fundó el priorato de la Madeleine. Viuda, entró en el priorato de Marcigny en 1082 [1], dejando dos hijos: Dalmace y Hugues de Borbón. Dalmace, en consideración a su madre, hizo algunas donaciones al priorato de Marcigny en manos de Dom Seguin, entonces chambelán de Cluny, luego prior de Marcigny, en el año 1100. El donante habla en estos términos de San Hugo, su tío: "Marciniacum aedificavit in haereditate paterna, vir vitae venerabilis, avunculus meus beatus Hugo, abbas Cluniacensis, qui illud pie regit". [2]

9° et 10° On ne sait rien de positif sur Cécile de Semur, ni sur Evelle ou Ouelle que MM. de Reffye et de Montmegin donnent encore pour filles à Dalmace et à Aremburge de Vergy. Mais il y a tout lieu de croire que Cécile est à la fois la tante et la marraine de la jeune Cécile de Semur, fille de Geoffroy III et à Hermengarde sa femme, qu'on trouve à l'année 1123 au Catalogue des Dames de Marcigny. [3]
11° Hermengarde de Semur. MM. de Reffye et de Montmegin donnent un onzième enfant à Dalmace et à Aremburge de Vergy, savoir Hermengarde de Semur, qui fut la première prieure de Marcigny, en 1061, comme ils l'ont lu à la suite d'un manuscrit des Rites et Coutumes anciennes dudit prieuré et à l'usage de cette maison. Ce précieux document a disparu et a probablement péri à la révolution. A ce premier témoignage s'ajoute : 1° le Catalogue des Dames prieures, publié à la suite de la seconde édition de Cluny au onzième siècle [4], où on lit : « Hermengarde de Semur, sœur de saint Hugues, fut la première prieure, en 1061 » ; - 2° le Catalogue des noms des Dames, où on lit de même à la cinquième ligne : « 1061. Hermengarde de Semur,
[1] Es a ella a quien se la menciona en el Catalogue des Dames de Marcigny, p. 325, con el nombre de Matilde de Bérgamo. Leemos Bergau, donde estaba Borbón.

[2] Généalogie de Reffye. [3] Cluny au onzième siècle, 2° édition, p. 237, l. 24. [4] Cluny, item, p. 229, 1. 2.
hija de Dalmace y Aremburge, primera priora [1]." Chazot, en sus Genealogías históricas de Borgoña, confundió erróneamente a Ermengarda con Elías o Elvie de Semur y duquesa de Borgoña. Hermengarda no debe ser la undécima en el orden de nacimiento; debe estar más cerca de San Hugo en edad. San Hugues fundó Marcigny en 1056, a la edad de 32 años. Tenía 37 años cuando entró en pleno funcionamiento, en el año 1061. Si situamos su nacimiento entre San Hugo y Hermengarda, habría sido demasiado joven, en cualquiera de estas fechas, para ser elegida priora titular.

L'éclat d'une aussi noble et illustre famille n'aura d'égal que ses malheurs. Dalmace I de Semur, surnommé le Grand par ses contemporains, était grand surtout par ses qualités et ses vertus, son amour de la justice et de la religion. Dès le commencement de son règne, il refusa de s'associer aux déprédations iniques dont Cluny fut victime de la part des seigneurs du voisinage, tels que les comtes de Brancion et les sires de Beaujeu, déprédations contre lesquelles s'éleva avec force le pape Benoît VIII (1012 à 1024) [2], qui lança contre ces grands coupables les foudres alors si formidables de l'excommunication.
« Le comte Dalmace, dit M. de Reffye, ne les imita pas dans leurs torts. Il vécut en grand seigneur, eut part aux affaires de son temps ; et sur la fin, des intérêts de famille l'y engagèrent si avant et si malheureusement qu'il y périt les armes à la main. »
Le roi Robert, en mariant sa fille Adélaïde de France à Renaud, fils de Landri, comte de Nevers, lui avait donné le comté d'Auxerre [3].
[1] Cluny, ibíd., p. 233. [2] Bullarium sacri ordinis Cluniacensis, p. 6 y 7. [3] Chazot, Tablettes hist. et généal t. II, p 168 y 169.

Roberto, su segundo hijo, que se convirtió en duque de Borgoña en 1032, reclamó, con las armas en la mano, Auxerrois como perteneciente a su ducado de Borgoña. Dalmace, según el señor de Reffye, se había unido al partido de Renaud, sacrificando sus afectos más íntimos a la justicia. Una gran batalla tuvo lugar en Seignelay [1] el 24 de mayo de 1040. El conde de Nevers fue derrotado y muerto en el campo de batalla. El padre Anselmo cuenta que el duque de Borgoña, "al ver a Dalmace de Semur entre sus enemigos, olvidó que era su suegro, y escuchando sólo sus resentimientos, se abalanzó sobre el conde y lo mató".

Mais autant il est certain que Dalmace périt de la main de son gendre, autant il me semble démontré que ce drame terrible ne peut se reporter à la bataille de Seignelay en 1040. Un auteur contemporain, Hildebert du Mans, l'historien de saint Hugues, le rapporte en ces termes : « Defuncto autem patre suo, quem dux Burgundiae gener ejus, propria manu peremerat, hoc apud Deum interventu subvenire studuit, ut delictorum ejus satisfactionem ... continuatis afficeretur jejuniis, frequentiores hostias immolaret ... sed et pro ejus interfectore ... oblatis Deo victimis et precibus intercessit. » [3]
Saint Hugues offrait souvent pour son père l'hostie sans tache du divin sacrifice : « Hostias immolaret... », et pour son malheureux beau-frère, la victime eucharistique : « Oblatis Deo victimis »; il était donc prêtre. Or en 1040, il n'avait que seize ans, étant né l'an 1024. Il faut donc reculer au moins jusqu'à l'an 1049 ou 1050 le parricide de Robert, mais pas jusqu'à la fondation de Marcigny, en 1056, puisque Geoffroy III était alors baron de Semur et que saint Hugues, de concert avec le baron régnant, le fonda sur son héritage paternel : « Marciniacum aedificavit in haereditate paterna. » Un héritage n'est ouvert qu'au décès du père.
[1] Courtépée, Histoire abrégée de Bourgogne, p. 209, l. 16; y no en Saligny, en Bourbonnais, como dice muy equivocadamente el señor de Reffye.

[2] Le Palais de l'honneur, t. I, p. 231. [3] Bibliotheca Cluniacensis, ool. 430, C
Todos los datos históricos concuerdan con la inferencia que estoy haciendo aquí. Courtépée nos muestra al joven Guillermo, hijo y sucesor de Renaud, conde de Nevers, reviviendo poco a poco sus asuntos con prudente habilidad y afortunadas alianzas, y restaurado al cabo de unos años para vengar la cruel muerte de su padre y recuperar su patrimonio. El duque de Borgoña se le opuso con su hijo, del mismo nombre y tan violento como él. Este joven príncipe fue asesinado, a su vez, por los sublevados Auxerrois en 1047. ¿Había luchado Josseran de Semur, el quinto hijo de Dalmace, por el conde de Nevers, o el siniestro duque Roberto sospechaba que se inclinaba del lado del joven Guillermo? No sé. El hecho es que Robert tendió trampas a su cuñado y lo asesinó a traición. Y como en los grandes villanos un abismo cava otro abismo, cuando el conde Dalmace, cediendo a su dolor paternal, dirigió al gran culpable los reproches que merecía, Roberto apuñaló a su suegro con su propia mano. Esta escena, digna del palacio de Herodes, tuvo lugar a la mesa, en medio de un banquete.

Je ne fais que suivre ici la marche et le récit de Courtépée et d'Hildebert du Mans. Hildebert [2] place l'assassinat de Josseran, le frère de saint Hugues, immédiatement avant celui de Dalmace, son père, insinuant par là qu'il y a une liaison entre les deux crimes, Ni l'un ni l'autre de ces historiens ne dit un mot qui semble favoriser le récit du père Anselme.
[1] Hist abrégée de Bourg p. 209, à la fin. [2] Bibliotheca Clun. col. 430, B C. « Qui etiam circa interfactores fratris ae patris sui Davidicam expressit et aemulatus est lenitatem .... Ad abbatis namque suggestionem compunctus homicida pœnitentiae habitum sumpsit ... In quo dum vivere desiit vivere inchoavit. »

Courtépée, después de la ejecución del joven príncipe de Borgoña por los Auxerrois, dice simplemente: "Roberto se llevó a excesos aún más deshonrosos al asesinar con su propia mano a Dalmace de Semur, su suegro". Pensó que enmendaría este crimen fundando el priorato de Semur-en-Auxois, donde eligió su sepultura. [Hist abreviada del ducado, p. 210, al principio

http://pjpmartin.pagesperso-orange.fr/site/Semur_Cucherat.htm

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Aremburge de Vergy
esposa

Hélie de Semur, duquesa consor...
hija

Mathilde de Semur
hija

Adelaida de Semur
hija

Cécile de Semur
hija

Hugues de Semur, abad de Cluny
sonido

André de Semur
sonido

Joceran de Semur
sonido

Dalmas de Semur, señor de Mon...
sonido

Godofredo II, señor de Semur
sonido

NN de Brioude
madre

Geoffroy de Semur, Señor de S...
padre

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Agregado por: Ing. Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo, MD.IG.

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CONTEXTO HISTORICO

✺- 960→Acontecimientos
1 de enero:1​ en la Dinastía Zhou Posterior de China (Era de las Cinco Dinastías), llegan noticias de una alianza entre Liao y Han Posterior para invadir las tierras norteñas. El general Zhao Kuangyin es enviado para proteger la frontera. En el camino, las tropas deciden coronarle como Emperador, pues el trono estaba siendo ocupado por un infante de 7 años debido a la súbita muerte del emperador anterior. Según algunos relatos, Zhao aceptó solo por la insistencia de sus soldados.
4 de febrero:2​ Fundación de la Dinastía Song, la cual unificará y gobernará toda China por 300 años. Zhao Kuangyin usurpa al trono de Zhou Posterior y se convierte en el Emperador Taizu de Song.
21 de septiembre: Dunstán recibe el palio como arzobispo de Canterbury del papa Juan XII y se convierte en asesor jefe del nuevo rey de Inglaterra, Edgar el Pacífico. Reforma los monasterios e impone las reglas de San Benedicto: pobreza, castidad y obediencia para los monjes. Intenta imponer el celibato en el clero secular, sin éxito alguno. Insistió activamente que la tribu de los danos se debían integrar con los ingleses. También funda en este año la iglesia de San Dunstán en Sussex Oriental.
8 de noviembre: Batalla de Andrassos (Montes Tauro, actual Turquía) entre el Imperio Romano Oriental y el Emirato Hamdánido. Los árabes, liderados por Sayf al-Dawla, sufren una derrota aplastante ante el general León Focas "El Joven" .
El duque Ricardo I de Normandía se casa con Emma de Francia.
Sancho I de León recupera el trono del Reino de León.
El gran príncipe Sviatoslav I de Kiev realiza una campaña contra los jázaros.
Miecislao I se convierte en príncipe de Polonia, tras la muerte de su padre. (fecha aproximada)
El reino de Aksum es destruido por invasores Beta Israel liderados por la reina Gudit.
El palacio interno (dairi) del Palacio Heian en Kioto sufre un gran incendio, aunque luego es reconstruido.
Nacimientos
23 de marzo: Matsu, hija de un pescador chino adorada como diosa taoísta del mar.
Aimoino, cronista francés (fecha aproximada).
Constantino VIII, emperador bizantino.
Svend I de Dinamarca, rey de Dinamarca e Inglaterra.
Conde Arnulfo II de Flandes (o 961).
Bagrat III de Georgia, rey de los abjasios y de Georgia (fecha aproximada).
Gershom ben Judah, rabino judío (fecha aproximada).
Fallecimientos
31 de mayo: Fujiwara no Morosuke, cortesano y estadista japonés.
15 de junio: Eadburh de Winchester, princesa y santa inglesa.
Časlav Klonimirović, príncipe de Serbia (fecha aproximada).
Gao Baorong, rey de Nanping, China.
Referencias
 Min Hing, Hung (2014). Ten States: Five Dynasties, One Great Emperor : How Emperor Taizu Unified China in the Song Dynasty. Algora Publishing. p. 3
 Lorge, Peter (31 de diciembre de 2015). The Reunification of China: Peace through War under the Song Dynasty. Cambridge University Press. pp. 4-5. ISBN 9781316432273.

✺- 970→4 de abril: inicia la construcción de la Mezquita de al-Azhar en El Cairo.
Mayo: la ciudad israelí de Ramla es tomada por los fatimíes.
23 de mayo: Pandulfo I de Benevento negocia la paz entre el Imperio Romano de Oriente (Bizancio) y el Sacro Imperio Romano Germánico. Tras esto, Otón I del Sacro Imperio acepta la soberanía de la Italia bizantina en el sur de la península.
Octubre: los fatimíes ocupan Damasco.
La Meca y Medina son capturadas por el Califato fatimí.
Vladimiro I de Kiev se convierte en Príncipe de Nóvgorod.
En el Reino de Pamplona (actual España), es entronizado Sancho Garcés II, primero en usar el título de rey de Navarra (en el 987)→
→García Fernández es nombrado conde de Castilla→
→Sviatoslav I de Kiev se alía con los pechenegos y búlgaros contra el Imperio bizantino, pero sus tropas son emboscadas y derrotadas en la Batalla

✺- 980→El rey Miecislao I establece el cristianismo como religión oficial de Polonia

✺- 990→En Suecia, Svend Forkbeard, rey vikingo danés funda la aldea de Lund→
→1 de enero: Rus de Kiev adopta el calendario juliano

✺- 1000→1 de enero: según un mito historiográfico, en esta fecha amplios sectores de la población europea creyeron que este día sucedería el fin del mundo (apocalipsis milenarista) al cumplirse los mil años del nacimiento de Jesucristo, por lo cual se produjeron disturbios y hubo masivas peregrinaciones hacia Jerusalén para poder morir en Tierra Santa. Actualmente se sabe que no sucedieron tales hechos, cuyo relato se remonta al Renacimiento, siendo popularizado por los historiadores del siglo xix.2​3​4​5​6​
10 de enero: Muere la emperatriz viuda Masako, emperatriz consorte del difunto emperador Reizei→
→11 de marzo: en Polonia se celebra el Congreso de Gniezno, uno de los eventos más relevantes de la historia de ese país→
→8 de abril: En Japón, Fujiwara no Shoshi es ascendida a emperatriz (Chugu), mientras que en ese mismo momento también había otra emperatriz Fujiwara no Teishi. Esta es la primera vez en

✺- 1010→Europa
Destrucción de Medina Azahara, a las afueras de Córdoba→
→Restauración de Hisham II en el Califato Omeya de Córdoba, sucediendo a Muhammad II al-Mahdi→
→Fundación de la ciudad de Yaroslavl→
Asia
Se establece en Vietnam la Dinastía Lý y la capital se desplaza a Hanói→
→El poeta persa Ferdousí termina de escribir Shahnameh→
América
El explorador vikingo Thorfinn Karlsefni funda un asentamiento en Norteamérica (fecha aproximada)→
África
La superficie del río Nilo se congela.1

✺- 1020→febrero-marzo:1​ en el Califato fatimí (Egipto), los nativos de Fustat se enfrentan a una coalición turco-berebere. Los esclavos negros prenden fuego la ciudad por tres días. Este evento es parte de una serie de rebeliones que debilitan severamente la autoridad de los fatimís→
→15 de abril: un terremoto devasta Roma durante las festividades del Viernes Santo. Una agrupación de judíos es acusada como causante del desastre, por lo que son condenados a muerte por el papa Benedicto VIII.2​
15 de junio: las fuerzas del Imperio romano de Oriente dirigidas por Basilio Boioanes toman Troia (Italia)→
→17 de junio: el papa Benedicto VIII se reúne con Enrique II del Sacro Imperio en Bamberg y le pide ayuda para recuperar el control del sur de Italia.3​
1 de septiembre: Mahmud de Gazni envía a su hijo para conquistar Ġawr, que cae al cabo de una semana.4

✺- 1030→Fundación de Tartu en Estonia→
→Fundación de Kaunas en Lituania→
→Georgia y emir de Tiflis se enfrentan a Shaddadids→
→Fin del Califato

✺- 1040→NACE Alfonso VI de León, rey de León y Castilla. Hijo de Fernando I de León


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Agregado por: Ing. Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo, MD.IG.

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Pedro Fróilaz de Traba, conde de Trastámara ★Bisabuelo n°18M,★ Ref: PF-1075 |•••► #ESPAÑA 🏆🇪🇸★ #Genealogía #Genealogy


 18° Bisabuelo/ Great Grandfather de: Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo →Pedro Fróilaz de Traba, conde de Trastámara is your 18th great grandfather.


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(Linea Materna)

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Pedro Fróilaz de Traba, conde de Trastámara is your 18th great grandfatheof

→(1) Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo

→(2)  Morella Álamo Borges (your mother) 

→(3) Belén Eloina Borges Ustáriz (her mother) 

→(4) Belén de Jesús Ustáriz Lecuna (her mother) 

→(5) Miguel María Ramón de Jesús Uztáriz y Monserrate (her father) 

→(6) María de Guía de Jesús de Monserrate é Ibarra (his mother) 

→(7) Teniente Coronel Manuel José de Monserrate y Urbina (her father) 

→(8) Antonieta Felicita Javiera Ignacia de Urbina y Hurtado de Mendoza (his mother) 

→(9) Isabel Manuela Josefa Hurtado de Mendoza y Rojas Manrique (her mother) 

→(10) Juana de Rojas Manrique de Mendoza (her mother) 

→(11) Constanza de Mendoza Mate de Luna (her mother) 

→(12) Fernando Mathé de Luna (her father) 

→(13) Emilia Gómez de Manzanedo (his mother) 

→(14) Ruy Gonzalez de Manzanedo, señor de Alcala de los Gazules (her father) 

→(15) Gonzalo Gómez de Manzanedo, señor de Valdelaguna (his father) 

→(16) Gomez Ruiz de Manzanedo, señor de Valdelaguna (his father) 

→(17) Rui / Ruy Manrique de Manzanedo (his father) 

→(18) Manrique Gómez de Manzanedo y Manrique de Lara (his father) 

→(19) Milia Pérez de Lara (his mother) 

→(20) Eva Pérez de Trava, Condesa (her mother) 

→(21) Pedro Fróilaz de Traba, conde de Trastámara (her father)

 

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Pedro Fróilaz de Traba, conde de Trastámara MP

Spanish: Dn. Pedro Fróilaz de Traba, Conde de Trastámara, Portuguese: D. Pedro Fróilaz de Traba, Conde de Trastámara

Gender: Male

Birth: circa 1075

Laxe, A Coruña, Galicia, Spain

Death: circa May 03, 1126 (42-59)

Place of Burial: Santiago de Compostela, Corunna, Galicia, Spain

Immediate Family:

Son of Cde. Froila Vermúdez and Elvira de Faro

Husband of Urraca Fróilaz and Mayor Rodríguez

Father of Ramiro Froilaz de Trava; Fernando Pérez de Traba, Conde de Trastámara; García Froila de Lugo; Jimena Pérez de Traba; Lupa Pérez de Traba and 12 others

Brother of Visclavara Fróilaz; Ermesenda Fróilaz; Munia Fróilaz and Rodrigo Fróilaz, obispo de Mondoñedo


Label: BIRTH 1086 DEATH 1126

Added by: Aníbal F. Montealegre García on December 1, 2007

Managed by: Eduardo C. Ferreyra Semería and 58 others

Curated by: Victar


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 Historia


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Count of Ferraria (today Ferreira), and first Count of Galicia. Factotum in the medieval history of Galicia, Also, he was in charge of the education of the future king Afonso VII. See Wikipedia.


http://es.wikipedia.org/wiki/Pedro_Froilaz


Pedro Froilaz (Laje, España; c. 1075 – 1128), conde de Traba (Trava en la ortografía de la época), fue un personaje fundamental en la historia de Galicia, principalmente, por habérsele encomendado la educación del futuro rey Alfonso VII y por su colaboración con el obispo Gelmírez en la política gallega de la época.


Sus padres fueron Froila Bermúdez (nacido alrededor de 1045) y Elvira de Faro (1050); tuvo como hermanos a Gonzalo, Rodrigo y Visclávara.[1] Se crió en la corte del rey Alfonso VI y se casó por primera vez antes de 1088 con Urraca Froilaz,[2] hija del conde Froila Arias de Traba y de Ardiu Didaci, descendiente del conde gallego Menendo González, tutor del rey Alfonso V de León, que además era nieto de Hermenegildo Gutiérrez y sobrino de San Rosendo. Los dominios de la pareja incluían un extenso territorio entre Noya y Ortigueira, básicamente, la parte de la provincia de La Coruña situada entre el río Tambre y el mar, de donde le viene el nombre de Conde de Trastámara. Hicieron numerosas donaciones a la Iglesia y a las órdenes religiosas.


Pedro Froilaz descendía de un linaje con vocación de dominio en Galicia y de enorme influencia en la corte de León. Al mismo tiempo, su esposa Urraca Froilaz pertenecía a una familia no menos importante, pero dos acontecimientos resituaron la posición hegemónica de esta familia:


Por un lado, el encarcelamiento de García de Galicia, a quien Froila Bermúdez había apoyado, por parte de Alfonso VI de León; por otro lado la derrota del conde gallego rebelde Rodrigo Ovéquiz, también por Alfonso VI de León.


Esto obligó a la familia de los Traba a recomponer su papel de influencia en el espacio político galaico. De este modo, Pedro Froilaz supo que para mantenerlo debía convertirse en hombre de confianza del conde Raimundo de Borgoña, a quien Alfonso VI había cedido el gobierno del reino de Galicia. El grado de independencia de este conde y su poder militar daba posibilidades de crecimiento social y político a los Traba, máxime cuando el ámbito de actuación de Raimundo, fuera de la propia Galicia, lo iba configurando en el más serio candidato a la sucesión de Alfonso VI.


Los amplios dominios de Pedro, al norte del río Tambre, condado de Trastámara, garantizaban a Raimundo fidelidad de todas las villas y presuras desde el puerto de Noya hasta el golfo Ártabro.


Froilaz aparece reflejado en los documentos de Raimundo: en 1095 plasmó su firma en la concesión de un salvoconducto a los mercaderes de Santiago de Compostela. En 1096 firmó una concesión de Raimundo a favor del obispado de Mondoñedo. En 1096 apareció en una permuta de villas entre Raimundo y el monasterio de San Lorenzo de Carbonero. En 1107, participó en una escritura de donación de Raimundo a la Iglesia de Santiago. Asimismo, impartió justicia en nombre del rey incluso fuera de Galicia.


Su posición preeminente se ve demostrada en que Raimundo de Borgoña y su esposa Urraca, hija de Alfonso VI, le confiaron en 1105 la educación de su hijo Alfonso Raimúndez, futuro Alfonso VII.


Agonizante ya Raimundo, en 1107, llamó a sus leales, confirmó la tutoría de su hijo a cargo de su principal defensor, Pedro Froilaz, y recabó de todos ellos la máxima lealtad para quien debería ser el joven soberano de Galicia.


En ese momento el liderazgo en Galicia de Pedro Froilaz es total y sin intermediarios. A partir de 1107 firmaba como conde de Galicia y en 1108, realizó una donación al monasterio de Caaveiro como Principis Gallecie.[3] Urraca, fallecido también su padre, miraba ya por su destino al frente de los territorios de la corona de León y, necesitada de apoyos, se casó con Alfonso I el Batallador, rey de Navarra y Aragón. Éste se hizo dueño de Castilla y de León, provocando la inmediata reacción de Pedro Froilaz. Aglutinando a lo más granado de la nobleza gallega, proclamó como rey de Galicia a Alfonso Raimúndez, su protegido en 1109, apoyándose en el testamento de Alfonso VI. En él se garantizaba la soberanía de su nieto sobre el Reino de Galicia en el caso de que Urraca se volviera a casar, tal como había acontecido.


Tropas castellanas, leonesas y aragonesas mandadas por Alfonso el Batallador invadieron Galicia, venciendo en Monterroso al ejército gallego de Pedro Froilaz. La violencia de las tropas del aragonés le restaron apoyos en Galicia. Esto permitió a Pedro Froilaz recuperarse y, en tres meses, volverse a hacerse con el control de Galicia (abril de 1110) y expulsar a las fuerzas invasoras.


Pactó con Enrique de Borgoña, conde de Portugal, una alianza para proteger al joven soberano de León y Castilla. Inició una acción de encarcelamiento de los nobles que no reconocían a su protegido. Solamente Arias Pérez consiguió una importante libertad de movimientos, hasta el punto de raptar el rey niño y encerrarlo en Pena Corneira. Arias Pérez, sin embargo, estaba solo y tuvo que pactar la liberación del rey niño a cambio de su propia libertad.


Vistos los riesgos que se corrían, Pedro Froilaz llegó a establecer una alianza con el poderoso obispo de Santiago Diego Gelmírez, con el objetivo de coronar solemnemente a Alfonso Raimúndez y consolidar su soberanía sobre el Reino de Galicia. De hecho, el 17 de septiembre de 1111 el rey niño fue coronado con toda la honra de un joven monarca en la catedral compostelana, en presencia sumisa de todos los magnates del Reino de Galicia.


Pedro Froilaz, pasó entonces de ayo a mayordomo real; y dada la corta edad del joven monarca, a regente de los destinos de Galicia. En ese momento, entraba en crisis el matrimonio entre Urraca y Alfonso de Aragón, por lo que Pedro Froilaz se puso al frente de sus tropas para llevar a su protegido a la ciudad de León. Mas los aragoneses salieron a la altura de Astorga al encuentro de la expedición y derrotaron a las tropas gallegas en la encarnizada batalla de Viandangos. Pedro Froilaz fue hecho prisionero y tuvo que pagar un rescate por su libertad. Urraca volvería a reconciliarse con su marido, razón por la cual Gelmírez y Pedro Froilaz entendieron que era preciso un entendimiento con la reina para mantener su poder y su dominio en Galicia.


Urraca quiso hacer patente que Galicia seguía siendo uno de sus reinos y para esto buscó el reconocimiento a su figura, sin despertar oposición en los señores de la misma. En 1112, firmó un documento donando a Pedro Froilaz importantes posesiones al sur del Tambre (en el valle del Río Deza y en el Salnés).


Pedro Froilaz aparecía en ese momento como defensor de Urraca, en el marco de un nuevo desencuentro de ésta con su marido. Fueron las tropas gallegas las que protagonizaron el sitio de Carrión de los Condes y las que pusieron las tierras leonesas bajo el mando de la reina. Pero ésta no tardaría en reconciliarse con El Batallador, y, una vez más, Diego Gelmírez y Pedro Froilaz capitanearon un ejército que persiguió a Alfonso el Batallador en Atapuerca y lo derrotó en Burgos, en el año 1113.


En 1116, Pedro Froilaz y Diego Gelmírez tenían todo el reino de Galicia bajo la soberanía de Alfonso Raimúndez. Urraca procuró no perder posiciones, apareciendo en Santiago como defensora de los derechos de la burguesía de la ciudad. Pretendía ganar puntos en el punto más endeble de Gelmírez. Buscó apoyos en el sur de Galicia, pero ahí se encontró con la alianza entre los Traba y los Tareixa de Portugal. Las tropas de ambos la sitiaron en el castillo de Sobroso. Urraca consiguió escapar, y volvió a León dejando a Galicia nuevamente en manos de Gelmírez y los Traba, que a través de Fernando Pérez de Traba (el hijo de Pedro Froilaz) ampliaban su influencia hasta las tierras propiamente portuguesas, cada vez más alejadas políticamente de León.


Roto definitivamente el matrimonio entre la reina castellana y el rey aragonés, los Traba sabían que, para asegurar la sucesión de Alfonso Raimundez en todos los reinos de la corona leonesa, era preciso entenderse con Urraca. Trajeron nuevamente a la reina a Santiago, donde fue recibida por Gelmírez. Los burgueses se sintieron traicionados por la reina y se levantaron violentamente. Gelmírez tuvo que huir disfrazado, ascendiendo por los tejados de la sitiada catedral. Urraca fue desnudada y ultrajada en la plaza del Obradoiro. La rebelión compostelana semejaba triunfar, hasta que las tropas de Pedro Froilaz aparecieron por el Monte Pedroso, amenazando con entrar a sangre y fuego en la ciudad. Los burgueses arrepentidos pidieron clemencia.


Las consecuencias no se harían esperar: Urraca reconoció plenamente los derechos sucesorios de Alfonso Raimúndez. Pedro Froilaz lo llevó a Toledo donde, en 1117, fue reconocido como rey. En 1118, el poderoso convento de Sobrado era donado de los monjes, a Bermudo y Fernando Pérez de Traba, en clara voluntad de consolidar el apoyo del linaje de Pedro Froilaz.


En este período se produce una especie de cogobierno en Galicia entre Alfonso Raimúndez y su madre Urraca. Mas en los documentos de ambos aparece siempre como principal magnate Pedro Froilaz, figurando como Comes Gallecie o como orbem Galetiae imperante. Esta posición de supremacía seguía resultando incómoda para Urraca, que intentó un golpe encarcelando con engaño a Pedro Froilaz en 1123. El hijo de Urraca se opuso a este encarcelamiento con contundencia, hasta que consiguió su pronta liberación.


Por fin el conde de Galicia y mayordomo real del rey gallego vio a Alfonso VII coronarse también en León. La muerte de Dueña Urraca daba paso a un reinado estable donde los Traba mantendrían su preeminencia galaico-leonesa, pero fracasando en el control del espacio portugués.


Prototipo de caudillo medieval, su actividad guerrera se simultaneaba con el papel de favorecedor de la Iglesia y el monacato. Entre los conventos que se vieron favorecidos por Froilaz, se encuentran los de Xubia, Moraime, Sobrado de los Monjes, Sano Xoán de Sabardes (Noya), Santo Tomé, en la comarca de Bergantiños, Cambre y Caaveiro.


El convento de Cins era de su propiedad. Cuando la comunidad femenina fue expulsada, debido a la política auspiciada por Roma de acabar con los conventos dúplices, se opuso con vehemencia y destituyó al abad y se dirigió a la sede papal, la que ordenó a Diego Gelmírez resolver la situación reconociendo los derechos de Pedro Froilaz y la vuelta de las mujeres.


En su testamento dejó villas, bienes y posesiones a las iglesias de Santiago y Mondoñedo.


Está enterrado en el Panteón Real de la Capilla de las Reliquias de la catedral de Santiago.



FUENTES.

-http://freepages.genealogy.rootsweb.com/~pinofiel/haro_osorio.htm



Burial:

Place: Capilla de las Reliquias de Santiago de Compostela, A Coruña, Galicia, España

Individual Note: Conde de Trava. Renunció bajo su dominio las tierras que abarcaban los condados de Traba, Trastámara y Monterroso. Es el célebre ayo del emperador Don Alfonso VII y prácticamente, fue señor de Galicia entera, en la que aún mandaba en 1112, en cuyo anño Doña Urraca le hace donación del castillo ya desaparecido de Leiro , en Abegondo. Su sepulcro se conserva en la capilla de las Reliquias, de la catedral de Santiago de Compostela. Cuando conoció el matrimonio de la reina Urraca con el rey Batallor, proclamó rey a Don Alonso. Favoreció a la reina mientras ésta se distanció de su marido, pero al conocer su reconciliación con aquél, favoreció el partido de su hermana Doña Teresa. Unido a Gelmírez, reconoció a Doña Urraca sus derechos, pero bajo la condición de proclamar a Don Alonso, coronado solemnemente en la basílica compostelana, el 17 Septiembre 1111. Don Pedro y su primera esposa eran de sangre real y fueron señores poderísimos en Galicia. En tiempo de Alfonso VI, Don Pedro fue gobernador del condado de Présares y de otros, y aun de toda Galicia. Ambos cónyugues se ocuparon de la educación del mencionado emperador Don Alonso VII. Sus cenizas reposan en Santiago (Tesoro de la catedral) entre las tumbas de Don ALfnso IX y de Don Fernando II


Había dado fin a la restauración del monasterio de San Juan de Sabardes, en la entrada de la ría de Noya. "He was one of the most illustrious nobles mentioned in the Chronica Adefonsi Imperatoris. He was extremely influential in the affairs of Count Raymond of Burgundy and Queen Urraca. Count Pedor was royal tutor of Alfonso VII, and he assiduously defended Alfonso's right to succession to the crowns fo Castille and Leon relying heavily upon the support of the Galician nobility." (Lope Ferreiro, Don Alfonso VII y su ayo, pp 9-27. Primera crónica general, II, 644.)



García Froyla, señor de la tierra de Lugo, hijo segundo del conde D. Pedro Fernández de Traba y de Dª Urraca Froyla, condesa de Arlanga y de Traba, que había sido su primera esposa. Dicho conde de Traba descendía directamente de D. Ramón, conde de Monterroso, hijo natural del Rey D. Fruela I de León y Dª Ermesenda Romáriz, señora de Santa Marte de Ortigueira.

Pedro Froilaz de Trava

Pedro Froilaz de Trava (Laxe, c. 1075-1128), conde de Traba[1], foi um personagem fundamental na história da Galiza, por ter encomendada a educação do futuro rei Afonso VII e pela sua colaboração com o bispo Diego Gelmírez na política galega da época.


Foi filho de Froila Bermúdez e Elvira de Faro[2] Criou-se na corte do Rei Afonso VI e casou pela vez primeira antes de 1088[3] com Urraca Froilaz filha do conde Froila Arias de Traba e de Ardiu Didaci, descente do conde galego Menendo González, o tutor do rei Afonso V de Leão, que ademais era neto de Hermenexildo Guterrez e sobrinho de São Rosendo. Os domínios do casal incluíam um extenso território entre Noia e Ortigueira, basicamente a parte da província da Corunha entre o rio Tambre e o mar, o qual origina o nome de Conde de Trastâmara[4]. Fizeram numerosas doações à igreja e a ordens religiosas.


Com Urraca Froilaz (1060 -?) filha de Froila Arias de Trava, conde de Trava e de Ardiu Didaci, teve:


Froilán Pérez.

Bermudo Pérez de Trava (1095 -?), Tenente de Trastâmara casado com Urraca Henriques, infanta de Portugal, filha de D. Henrique de Borgonha, conde de Portucale e de Teresa de Leão, condessa de Portugal.

Fernán Pérez de Trava (1080 - 1155), conde de Trastâmara c. 1100 casou com Sancha González

Lupa.

Gimena.

Froila.

Volta casar em 1105, segundo alguns com Maior Guntroda Rodríguez ou Maior Armengol de Urgel (1080 -?), filha de Armengol IV de Urgel (1056 - 1092) e de Lucie de la Marche (1060 -?), condes de Urgel, de quem teve vários filhos:


Rodrigo, Garcia.

Eva Pérez de Trava, (1195 -?) casada por duas vezes, a primeira com Garcia I Ordoñez, conde de Nájera e a segunda com Pedro González de Lara.

Estefânia Pérez de Trava, (1100 -?) casou com D. Rodrigo Fernandez de Castro "o Calvo".

Elvira Pérez de Trava (1115 -?) casou com Gomes Nunes de Pombeiro (1070 -?) filho de Nuno de Celanova (1030 -?) e de D. Sancha Gomes de Cellanova (1035 -?).

Toda.

Urraca

Sancha.

Iduaria.

in: Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre. <http://pt.wikipedia.org/wiki/Pedro_Froilaz_de_Trava>



28. D. PEDRO FERNANDES DE TRAVA, conde, senhor e povoador da grande Casa de Trava, Trastâmara e Monterosso, e aio do imperador D. Afonso vn (I106-1157), de Leão e Castela. Foi casado com ELVIRA DE URGEL que, depois viúva, fez-se freira no Convento que fundara em São Martinho de Carrazedo, nas terras de Entre Homem e Cávado, filha de D. Armegol vn falecido em 1184, conde soberano de urgel e senhor de Valladolid.


Marriage: 12 Aug 1088 - Galicia, Spain

http://dbe.rah.es/biografias/14037/pedro-froilaz


Froilaz, Pedro. Conde de Traba. Galicia, s. t. s. XI – ?, 1126. Noble, ayo de Alfonso VII. No se tiene noticia del año de su nacimiento, pero puede colegirse que, criado en la casa del rey Alfonso y habiendo alcanzado, durante el reinado del conquistador de Toledo y tras la desaparición de Raimundo de Borgoña, el título de conde de Galicia, habría de ser niño o mozo en la década de los setenta o en la de los ochenta del siglo XI; así pues, no parece desacertado proponer los últimos años del segundo tercio de la centuria como el tiempo más probable de su venida al mundo. Se conoce, en cambio, con precisión el año de su muerte. Por documento fechado el 3 de mayo de 1126, la condesa Mayor Rodríguez, segunda esposa del noble gallego, hizo donación al monasterio de Sahagún de una heredad en Valdunquillo, por el alma de su marido, con quien, según se indica en las dos versiones que se conservan de este texto, había disfrutado de larga felicidad en esta vida. Se explican bien el recuerdo y la añoranza de la viuda, porque no hacía mucho de la muerte del conde; los dos, Pedro y Mayor, cedían, el 2 de marzo de ese mismo año, al cenobio de San Salvador de Pedroso los derechos que les correspondían en la iglesia de San Saturnino. Murió, pues, el conde de Traba en 1126, probablemente en el mes de abril. No hay lugar aquí para amplios desarrollos prosopográficos, pero sí conviene alguna referencia al pasado y al futuro familiar. Es útil, hacia atrás, recordar la generación inmediatamente anterior. Pedro Froilaz fue hijo de Froilán Bermúdez y yerno, por su primer matrimonio, de Froilán Arias. Uno de los dos Froilanes —no se puede estar del todo seguro, pero es más probable la atribución a Bermúdez— fue autor o principal instigador del asesinato de Gudesteo, que, además de su sobrino, era obispo de Iria. Ocurrió el crimen durante el reinado de García de Galicia, el protector de Gudesteo, el que lo había escogido para ocupar la silla de Santiago. El asunto, de claro trasfondo político, pues se discutía acerca de derechos sobre tierras y hombres, pone de manifiesto que los ascendientes del conde Pedro formaban parte del reducido grupo de familias entre las que se reclutaban los individuos que —laicos o eclesiásticos, prelados o guerreros— ejercían el poder, no siempre de manera pacífica, a la sombra legitimadora de los Reyes. Hacia el futuro, las cosas no fueron diferentes. Desde luego, los tres hijos y dos hijas habidos por Pedro Froilaz con su primera esposa, Urraca Froilaz, y los tres varones y siete mujeres que tuvo en su segundo matrimonio aseguraron, con un total de quince descendientes, la proyección familiar en el tiempo. No hace falta que se hable de toda la prole; basta con indicar las estrechas relaciones, no sólo políticas, de Bermudo y Fernando Pérez con Teresa de Portugal, el puesto de alférez ocupado por Rodrigo en la Corte de Alfonso VII o el matrimonio de García con Elvira, hija de la reina Urraca y de Pedro González de Lara, para caer en la cuenta de que los hijos del conde gallego supieron mantenerse en el grupo de los poderosos. Sin duda, Pedro Froilaz se aseguró bien en esa posición. Recuerda la reina Urraca, en donación concedida al conde Pedro y a la condesa Mayor, que su padre, el rey Alfonso, había criado y educado en su casa al noble gallego, de la misma manera que éste, años después, criara y educara en la suya a su propio hijo, Alfonso Raimúndez. La función de tutor del emperador Alfonso VII es, desde Rodrigo Jiménez de Rada, fuente principal del prestigio de que goza el conde de Traba en los libros de historia. No fue la única ni la más relevante de sus actividades sociales; pero esta proximidad a la Familia Real, esta integración en el selecto grupo de los más cercanos al Monarca, es primero y principal requisito en el desempeño de una actividad política destacada. La desarrolló sin duda Pedro Froilaz y quedó circunstanciadamente recogida en el registro de acontecimientos que, relativos a su sede y de manera principalísima a su propio pontificado, mandó componer el primer arzobispo de Santiago, Diego Gelmírez. La Historia compostelana es, para el siglo xii y el ámbito ibérico, un testimonio excepcional; sobre todo, si no se hace demasiado caso de lo que quiere contar y se centra la atención en lo que cuenta sin querer. De los muchos personajes de la nobleza que desfilan por sus páginas, es Pedro Froilaz aquel sobre el que se suministran más noticias. Pero no es él, claro está, el personaje central. No es su historia la que se quiere contar. Y, en ese sentido general, se cumple la condición de que se habla de él, al menos en aquellos aspectos que no son principales desde el punto de vista de los clérigos de Gelmírez, sin querer. De este modo, no es imposible trazar, adoptando un punto de vista diferente al de los cronistas, algunos de los rasgos que caracterizan al personaje y a la clase a la que pertenece. Comenzando por el final, la Historia compostelana no dice cuándo murió Pedro Froilaz; pero cuenta cómo. Sucedió en Compostela, donde se hallaba el conde cuando cayó gravemente enfermo. Con tiempo suficiente para hacer testamento, que es la razón por la que, en la medida en que la iglesia de Santiago está entre los beneficiarios, interesa el acontecimiento. Ese interés permite conocer, a través de los bienes legados en herencia y de sus flujos de procedencia y destino, algunas características del sistema de parentesco y de la base patrimonial de esta familia de aristócratas. Debe decirse a este propósito que, a la altura del siglo xii, las cosas vienen de atrás y miran aún hacia atrás. La estructura de parentesco socialmente operativa no es aún la del linaje. Es la del grupo de padres e hijos, de hermanos y hermanas, como base para el establecimiento de alianzas y para la circulación de bienes. No se ve aún aquí al jefe de la casa que decide en solitario y organiza el relevo sobre la base de la entrega del testigo al hijo primogénito; las decisiones testamentarias, tomadas en el lecho de muerte y en presencia del arzobispo confesor, son expresamente autorizadas por la esposa y los hijos, también presentes. Y hay, en otros pasajes de la crónica, claros testimonios de la distribución equilibrada entre hijos e hijas de los bienes del grupo, integrados distintamente por los de la esposa y los del esposo. También las características de la base fundiaria miran hacia atrás. En el registro de Gelmírez, interesa solamente la parte del testamento que transfiere bienes a la iglesia. No se recogen en el texto las donaciones, “para evitar una desmedida extensión”. Su anotación detallada se guarda en el archivo. Son partes de villae, heredades, iglesias y monasterios, dispersos en un territorio muy amplio. Lo que, en vida, donó a la iglesia el conde Pedro, sus hermanas y hermanos y sus hijos confirma la misma estructura; la que es propia de los patrimonios aristocráticos durante el período altomedieval. Sin duda, Pedro Froilaz era rico. Además, fue hombre muy poderoso. La base de ese poder era, en primer lugar, la fuerza. En las primeras referencias a él, de la Crónica compostelana ya destaca este rasgo. Hacia 1109-1110, Pedro Froilaz atraía la atención nada menos que del Papa. Pascual II se ocupó de él en una bula que contiene una destemplada reprimenda, porque el conde había expulsado “por la fuerza” al abad del monasterio de Cines. En contra de los deseos de los clérigos reformistas, se empeñaba el de Traba en mantener allí una comunidad de monjas. Y recurrió a la fuerza. Inmediatamente antes de la escena de la muerte del conde, la información cronística acerca de él se cierra con la narración de otro acto violento: a la misma puerta del altar de Santiago, se dice, no tuvo Pedro empacho en golpear con sus manos a su colega el conde Alfonso. Dos demostraciones de fuerza enmarcan, pues, lo que la crónica gelmiriana dice de Pedro Froilaz. Pero no basta la fuerza bruta para el ascenso y el mantenimiento en la jerarquía feudal; la violencia ha de ser legítima. Se buscaba la legitimación. La buscó en los dos casos mencionados Pedro Froilaz. Hubo otra bula de Pascual II sobre el monasterio de Cines, de tono muy diferente a la anterior, en la que el Pontífice venía a acceder, por los menos en parte, a los deseos del noble. Entre las dos bulas, tuvo lugar un viaje. El conde galaico deseaba legitimarse y sabía cómo hacerlo. Claro que viajar a ultrapuertos y, pergaminos en mano, presentarse ante el Papa no estaba al alcance de cualquiera; hacían falta fuerza para llegar y medios para convencer. Y el conde de Traba llegó y convenció. Los golpes al conde Alfonso en la catedral encontraron, si no legitimación, por lo menos perdón más cercano; lo alcanzó el aristócrata de Diego Gelmírez, no sin la correspondiente penitencia y la donación al arzobispo del monasterio de Cospindo. Pero más que esta violencia física ejercida individualmente y legitimada por la vía de la religión, importa la violencia colectiva, la que los nobles ejercen como grupo; en este sentido, la violencia de clase; legitimada por la vía política. Hay, en este sentido, una violencia de legitimación fácil, automática, porque está asentada centralmente en la mentalidad colectiva. Es la que se despliega en la guerra contra los enemigos exteriores, contra los infieles. Es la guerra en la que, desde luego, participan los nobles, la guerra para la que se preparan y de la que se benefician. Acompañando a Raimundo de Borgoña en el cerco de Lisboa o formando parte del ejército de Urraca en el castillo de Berlanga, la Historia compostelana presenta a Pedro Froilaz integrado en la lucha con los almorávides, desempeñando su función de bellator. Pero se cuentan con los dedos de la mano las ocasiones en que puede verse al conde gallego participando en la reconquista. Por el contrario, las páginas de la crónica de Compostela están llenas de las inacabables batallas de la guerra interior. Como todas las crónicas, es ésta una historia política, dedicada a la narración de la constante lucha por el poder en el interior del reino. La participación en esa guerra interna de Pedro Froilaz, como la de los demás nobles, es constante, es una permanencia. Y su legitimación es menos automática. El grupo es ahora la noción fundamental, el instrumento indispensable en el acceso al poder. La Historia compostelana presenta a Pedro Froilaz y a una parte de los nobles de Galicia enfrentados a otras asociaciones nobiliares. Por ejemplo, y con frecuencia, la que encabeza Arias Pérez. Son asociaciones juradas, en las que el juramento se usa para reforzar la coherencia de estos grupos que, no exentos de verticalidad, son ante todo horizontales. Bien que con indudables peculiaridades, a la muerte de Alfonso VI vuelve a abrirse la posibilidad de la existencia de varios reyes en el regnum leonés, como había ya ocurrido en más de una ocasión en los siglos x y xi. Y es en este fértil medio en el que ha de entenderse ahora la legitimación del poder aristocrático. En la Historia compostelana se tiene un rico cuadro de las diferentes posibilidades que se ofrecían. Arias Pérez y su grupo buscaron la imposición de su dominio al amparo de Alfonso el Batallador. Pedro Froilaz y los suyos estuvieron del lado de la reina Urraca; pero sobre la base de su estrecha asociación con el hijo que había tenido con Raimundo de Borgoña. El conde gallego, nutritus en la Corte de Alfonso VI, se encargó de la crianza de su nieto, a cuya educación destinó específicamente al ayo Ordoño. Siempre se ha subrayado la protección constante y la fidelidad permanente del conde hacia el futuro Alfonso VII. De momento es, ciertamente, la fuente de su legitimidad. Subrayada hasta el punto de promover la unción y coronación del niño Alfonso Raimúndez en la catedral de Santiago. No como rey de Galicia sino de León; con el consentimiento de su madre. Luego, camino de la sede regia para refrendar lo ocurrido en Compostela, vino el encuentro con el Batallador y la derrota de Viadangos. Son las posiciones en el punto de partida. En absoluto inamovibles. La reina Urraca, con el apoyo de la aristocracia leonesa y castellana, pudo, tras derrotar al rey de Aragón, consolidar finalmente su posición en el trono. Cambia entonces la relación con los nobles gallegos. Arias Pérez intriga en la Corte contra Pedro Froilaz y su grupo. Pedro Froilaz sigue amparándose en Alfonso Raimúndez, pero ahora, después de que comenzara gran discordia entre la Reina y su hijo, queriendo convertirlo en rey de Galicia. Estaban abiertas otras posibilidades. Por ejemplo, la que pudo verse en el castillo de Sobroso, donde la reina Urraca era sitiada por el conde Pedro y la infanta Teresa, “hermana de la reina y señora de todo Portugal”. La crónica de Gelmírez presenta en una segunda ocasión a Pedro Froilaz y a Teresa, designada ahora como reina de Portugal, formando parte de un grupo —en el que por cierto está también Arias Pérez— enfrentado a la reina de León. La última vez que en la compostelana el conde Pedro aparece en su búsqueda de legitimación política está en prisiones, encarcelado por la Reina y por su hijo Alfonso, por entonces definitivamente unidos. La imposición social de los grupos aristocráticos, es decir, de los fuertes y los ricos, tiene en el reconocimiento por parte de la Monarquía un elemento sustentador esencial. Y al revés: sólo mediante la aceptación y la colaboración de los nobles pueden los reyes hacerse presentes en el territorio: reclutar el ejército, percibir tributos, administrar justicia. En ese juego político todavía muy abierto, resultado directo de la dinámica social, tienen lugar las sumisiones y las rebeliones de los nobles, las uniones, los repartos y la creación de los reinos. Es en ese marco en el que cobra su pleno sentido una figura como la de Pedro Froilaz.


Bibl.: A. López Ferreiro, Don Alfonso VII, rey de Galicia, y su ayo el conde de Traba, Santiago de Compostela, Seminario Conciliar, 1885; Anónima, Historia Compostelana, o sea, Hechos de D. Diego Gelmírez, primer Arzobispo de Santiago, trad. de fray Manuel Suárez, intr. y notas de fray José Campelo, Santiago de Compostela, Ediciones Porto, 1950; E. Portela y M.ª C. Pallares, “Aristocracia y sistema de parentesco en la Galicia de los siglos centrales de la Edad Media: el grupo de los Traba”, en Hispania, 53 (1993), págs. 823-840; S. Barton, The aristocracy in twelfth-century León and Castile, Cambrige, Cambridge University Press, 1997; M. Torres Sevilla-Quiñones de León, Linajes nobiliarios en León y Castilla (siglos ixxiii), Valladolid, Consejería de Educación y Cultura, 1999.


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Sancha Pérez de Traba

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Aldura Pérez de Traba

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Elvira Pérez de Traba

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Urraca Fróilaz

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Ramiro Froilaz de Trava

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Agregado por: Ing. Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo, MD.IG.


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CONTEXTO HISTORICO


✺- 1075→Alfonso VI de León establece la diócesis de Burgos como continuación canónica de la antigua diócesis de Oca→

Nacimientos

Lotario II, emperador del Sacro Imperio Romano Germánico→

→Orderico Vital, cronista inglés→

→Ramiro II El Monje, rey de Aragón

→ Fallece: Trastamírez, 2º senhor da Maia Gonçalo es Bisabuelo n°20M de Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo


✺- 1085→25 de mayo. Alfonso VI de Castilla conquista Toledo y se corona rex hispaniae


✺- 1095→Urbano II confirma el establecimiento de la diócesis de Burgos, llevado a cabo por Alfonso VI de Castilla en 1075


✺- 1105→El reino de Tamna, vasallo de la Dinastía Goryeo, fue anexionado oficialmente a esta→

→Nacimientos

1 de marzo - Alfonso VII, rey de Galicia (1111-1157), de León (1126-1157) y de Castilla (1127-1157). Hijo de la reina Urraca I de León y padre de los reyes Sancho III de Castilla, rey de Castilla, y de Fernando II de León→

→Melisenda, reina de Jerusalén (1131-1153)→

→Fallecimientos

Raimundo de Tolosa, conde de Tolosa


✺- 1115→La isla de Mallorca saqueada por una escuadra pisano-catalana al mando de Ramón Berenguer III

En Manchuria (China) se funda la Dinastía Jin

14 de septiembre: en Siria, los turcos selyúcidas son derrotados por los Cruzados en la batalla de Tell Danith→

→Nacimientos

Raimundo de Poitiers, militar y aristócrata francés (f. 1149)→

→Fallecimientos

Rey Olaf Magnusson de Noruega de Noruega→

→Ocho Venado, señor mixteco de los ñuu de Tilantongo y Tututepec, es sacrificado por sus enemigos


✺- 1125→Los almohades destruyen el poder de los almorávides en el norte de África y someten a los árabes de la península. Desde entonces los musulmanes españoles son casi exclusivamente moros. Los árabes están en minoría



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Agregado por: Ing. Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo, MD.IG.


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Barrio Y Abreu Juana Del (Lp) ★Bisabuela n°9M,★ Ref: BA-1627 |•••► #ESPAÑA 🏆🇪🇸★ #Genealogía #Genealogy


 9° Bisabuela/ Great Grandmother de: Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo →Juana del Barrio is your 9th great grandmother.


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(Linea Materna)

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Juana del Barrio is your 9th great grandmotheof

→(1) Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo

→(2)  Morella Álamo Borges (your mother) 

→(3) Belén Eloina Borges Ustáriz (her mother) 

→(4) Belén de Jesús Ustáriz Lecuna (her mother) 

→(5) Margarita Lecuna Sucre (her mother) 

→(6) Josefa Margarita Sucre y Márquez de Valenzuela (her mother) 

→(7) Narcisa Márquez y Alcalá (her mother) 

→(8) Pedro José María Márquez de Valenzuela y Vallenilla, Teniente de Infanteria (her father) 

→(9) Juana Mónica Vallenilla Arana y Vázquez de Bocanegra (his mother) 

→(10) Josefa Rosa Vásquez de Bocanegra (her mother) 

→(11) José Vázquez de Bocanegra, Capitán (her father) 

→(12) Juana del Barrio (his mother)

Vallenilla y Vázquez de Bocanegra de Salaverría Josefa Manuela de ★(Es Tu Séptima Tía Abuela)★ Ref: VV-1715 |•••► #ESPAÑA 🏆🇪🇸★ #Genealogía #Genealogy

(Es Tu Séptima Tía Abuela)-is your 7th great aunt de: Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo →Josefa Manuela de Vallenilla y Vázquez de Bocanegra de Salaverría is your 7th great aunt.


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(Linea Paterna)

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Josefa Manuela de Vallenilla y Vázquez de Bocanegra de Salaverría is your 7th great aunof

→(1) Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo

→(2)  Dr Enrique Jorge Urdaneta Lecuna (your father) 

→(3) Elena Cecilia Lecuna Escobar (his mother) 

→(4) Dr. Vicente de Jesús Lecuna Salboch (her father) 

→(5) Ramón Lecuna Sucre (his father) 

→(6) Josefa Margarita Sucre y Márquez de Valenzuela (his mother) 

→(7) Narcisa Márquez y Alcalá (her mother) 

→(8) Pedro José María Márquez de Valenzuela y Vallenilla, Teniente de Infanteria (her father) 

→(9) Juana Mónica Vallenilla Arana y Vázquez de Bocanegra (his mother) 

→(1) Josefa Manuela de Vallenilla y Vázquez de Bocanegra de Salaverría (her sister)

 

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Josefa Manuela de Vallenilla y Vázquez de Bocanegra 

Gender: Female

Birth: circa 1715

Cumaná, Sucre, Venezuela (Venezuela, Bolivarian Republic of)

Death: July 20, 1787 (67-76)

Cumaná, Sucre, Venezuela (Venezuela, Bolivarian Republic of)

Immediate Family:

Daughter of Diego de Vallenilla y Arana, Capitán and Josefa Rosa Vásquez de Bocanegra

Wife of Baltazar de Salaverría y Cortés

Mother of José Francisco de Salaverría y Vallenilla; Baltazar Antonio de Salaverría y Vallenilla; Isabel Antonia Salaverría y Vallenilla and Gaspar de Salaverría y Vallenilla

Sister of Domingo de Vallenilla y Vázquez de Bocanegra; Diego de Vallenilla y Bocanegra; Juana Mónica Vallenilla Arana y Vázquez de Bocanegra; José de Vallenilla y Vazquez de Bocanegra, Presbitero; Félix de Vallenilla y Vázquez de Bocanegra, Capitán and 1 other


Added by: Samuel Felipe Sotillo Hermoso on February 13, 2008

Managed by: Samuel Felipe Sotillo Hermoso, Corina Eugenia Briceño-Iragorry Calcaño, Pablo Romero (Curador) and Victar

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Baltazar de Salaverría y Cortés

husband


José Francisco de Salaverría y...

son


Baltazar Antonio de Salaverría ...

son


Isabel Antonia Salaverría y Val...

daughter


Gaspar de Salaverría y Vallenilla

son


Josefa Rosa Vásquez de Bocanegra

mother


Diego de Vallenilla y Arana, Cap...

father


Domingo de Vallenilla y Vázquez...

brother


Diego de Vallenilla y Bocanegra

brother


Juana Mónica Vallenilla Arana y...

sister


José de Vallenilla y Vazquez de...

brother


Félix de Vallenilla y Vázquez ...

brother


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Agregado por: Ing. Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo, MD.IG.


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CONTEXTO HISTORICO


✺- 1715→2 de julio: Toma borbónica de Mallorca, último episodio de la Guerra de sucesión española


✺- 1725→30 de abril: España y el Sacro Imperio Romano Germánico firman el tratado de Viena


✺- 1735→7 de agosto: por disposición del Presidente de la Real Audiencia de Quito Dionisio de Alcedo y Herrera, se funda eclesiásticamente y se manda a poblar como parroquia la Santísima Villa Rica de la Bendita Providencia de San Cayetano de Chone, en Ecuador


✺- 1745→1 de abril: La emperatriz María Teresa I de Austria decreta la expulsión de los judíos de Praga


✺- 1755→1 de noviembre: en Portugal, un terremoto de 8,5 a 9,0 destruye casi por completo la ciudad de Lisboa como consecuencia de un incendio. Cuarenta minutos después suceden tres tsunamis de 20 metros de altura. El saldo es de entre 60.000 y de 100.000 muertos en la ciudad y también se registran pérdidas humanas en el sur de España, Marruecos y Argelia.1


✺- 1765→7 de febrero: Horace Walpole publica El castillo de Otranto, la primera novela gótica de la literatura universal→

→23 de febrero: en Inglaterra, el químico y físico británico Henry Cavendish descubre el hidrógeno, al que denomina «aire inflamable» y con ello, determina la composición de la atmósfera→

→22 de marzo: Estados Unidos - Fuerte tensión entre Gran Bretaña y sus colonias americanas por el voto de la Stamp Act (Ley del Timbre) que aplica un impuesto sobre documentos jurídicos y oficiales, pólizas de seguros, juegos de dados, publicaciones tales como periódicos y libros, etc. Este intento del Ministerio de Finanzas británico de someter a los norteamericanos al impuesto directo, provoca la protesta de las colonias. Las colonias del norte, las más afectadas, toman la cabeza de un movimiento de oposición a las decisiones de la metrópoli y consiguen atraer a la causa al conjunto de colonias. Pitt el Viejo y Burke


✺- 1775→Febrero: Se le concede por la Real Carta de febrero de 1775 al lugar de Casas de Ves la construcción de la Casa Ayuntamiento, bajo el reinado de Carlos III→

→15 de febrero: en Roma, el cardenal Braschi es elegido papa con el nombre de Pío VI→

→23 de febrero: en París se estrena El barbero de Sevilla, de Beaumarchais→

→19 de marzo: final del sitio de Melilla gracias a don Juan Sherlock derrotando a las tropas de Ben Abdallah→

→23 de marzo: en Estados Unidos, Patrick Henry consigue que la colonia de Virginia se una a la Guerra contra Inglaterra tras un discurso que termina con su famosa frase «denme libertad o denme muerte»→

→18 de abril: en Estados Unidos se libra la batalla de Concord. Primer choque entre las milicias estadounidenses y las tropas reales británicas de Lexington→

→19 de abril: comienza la Guerra de Independencia de los


✺- 1785→28 de mayo: Carlos III de España aprueba los nuevos modelos de pabellón nacional y civil español, que acabarían por sentar las bases para la moderna bandera de España.

→ 12 de julio: un fuerte terremoto destruye gran parte de la ciudad de Santa Fe de Bogotá y otros lugares del entonces Virreinato de la Nueva Granada, actual Colombia.

→ 29 de marzo: Se funda la Universidad de Los Andes en la ciudad de Mérida, Venezuela



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Agregado por: Ing. Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo, MD.IG.


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lunes, 19 de agosto de 2024

Yitzhak Shlomo HaLevi ✡★Bisabuelo n°26M,★ Ref: YS-1005 |•••► #ESPAÑA 🏆🇪🇸★ #Genealogía #Genealogy


 Yitzhak Shlomo HaLevi  is your 26th great grandfather.of

→(1) Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo

→(2)  Morella Álamo Borges

your mother 

→(3) Belén Borges Ustáriz

her mother 

→(4) Elias Felipe Borges Santamaría

her father 

→(5) Elias Borges y Codecido

his father 

→(6) María Josefa Juliana Codecido Salazar y Lamas

his mother 

→(7) María de los Angeles Rodríguez de Lamas Marvez

her mother 

→(8) María Antonia Marvez Rojas

her mother 

→(9) María Antonia de Rojas Queipo y Loaysa

her mother 

→(10) Miguel Rojas Queipo del Llano, Maestre de Campo

her father 

→(11) Miguel de Rojas, Alferez y Alguacil Mayor

his father 

→(12) Jussephe (José) de Alvarez y Rojas

his father 

→(13) María Josefa Gómez de Agüero y Rojas

his mother 

→(14) Ana de Rojas

her mother 

→(15) Lázaro Vásquez de Rojas de Ayala

her father 

→(16) Aldonza de Ayala y Romero

his mother 

→(17) Mencía Romero

her mother 

→(18) Aldonza Núñez de Toledo

her mother 

→(19) Mencía Núñez

her mother 

→(20) Pedro Suarez de Cartagena

her father 

→(21) Isaac Simon Ha-Levi, judio de Soria

his father 

→(22) Abraham de la Cavalleria de la Cavalleria Ha Leví

his father 

→(23) Don Judah Ha-Levi de la Cavallería, "Nasi"

his father 

→(24) Rabbi Avraham HaLevi ben Zechariah

his father 

→(25) Zerachiah Gracian-Hen haLevi of Girona (Ba'al haMaor)

his father 

→(26) Yitzchak Ha'Levi Hayizhari ben Reuben, Bailiff Perfet

his father 

→(27) Zerachyah Reuben Ha'Levi ben Shemtov Halevi

his father 

→(28) Shem Tov Ha-Levi Hitzhari

his father

→(29) Yitzhak Shlomo HaLevi 

his father*

 

-------------------------------------------------------------------------------------

Yitzhak Shlomo HaLevi MP

Hebrew: שלמה הלוי, שלמה הלוי

Gender: Male

Birth: 1005

Tortosa, Tarragona, Cataluña, Spain

Death: 1080 (74-75)

Spain

Immediate Family:

Son of Roots of the Halevi-Horowitz family to the Prophet Samuel

Husband of Wife Hayitzhari

Father of Shem Tov Ha-Levi Hitzhari


Added by: Moishe Streicher on December 26, 2007

Managed by: Sagy Pundak-Mintz (Pundak) and 14 others

Curated by: Anne Brannen


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 Historia


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Haplogroup likely to be: J-FT303739 (see document yDNA Rabbinical in https://www.geni.com/projects/Rabbinical-Lineages-yDNA-and-Haplogroup-Identification/58725 for details)


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Wife Hayitzhari

wife


Shem Tov Ha-Levi Hitzhari

son


Roots of the Halevi-Horowitz fam...

father

 

CONTEXTO HISTORICO


✺- 1005→Kazán, fundación de la ciudad→

→Malcolm II sucede a Kenneth III como rey de Escocia→

→Pomerania se subleva contra la iglesia→

→Schaffhausen empieza a acuñar sus propias monedas


✺- 1015→Agosto: Canuto II de Dinamarca invade Inglaterra→

→Los Berserkers son prohibidos en Noruega→

→Olaf Haraldsson se convierte en rey de Noruega→

→Sviatopolk sucede a Vladimir como príncipe de Kiev


✺- 1025→Se funda el Monasterio de Montserrat, que hoy alberga unos 4000 monjes→

→Constantino VIII es nombrado emperador del Imperio bizantino→

→Miecislao II, es nombrado rey de Polonia


✺- 1035→Nace el Reino de Aragón, por la unión de los condados de Aragón, Sobrarbe y Ribagorza en la figura de Ramiro I→

→Comienzo del reinado de Fernando I de León

División del reino de Pamplona


✺- 1045→El Imperio bizantino conquista Armenia, en la última acción ofensiva en Asia de su historia


✺- 1055→Iglesia católica: Víctor II es elegido papa.

→ España cristiana: Diego Flaínez, padre del Cid conquista a Navarra para Castilla los castillos de La Piedra y de Úrbel del Castillo que cerraban el paso a través del valle del alto Úrbel


✺- 1065→Sancho Ramírez de Aragón conquista Barbastro y contrae matrimonio con Isabel de Urgel, hija de Ermengol III de Urgel


✺- 1075→Alfonso VI de León establece la diócesis de Burgos como continuación canónica de la antigua diócesis de Oca→

Nacimientos

Lotario II, emperador del Sacro Imperio Romano Germánico→

→Orderico Vital, cronista inglés→

→Ramiro II El Monje, rey de Aragón

→ Fallece: Trastamírez, 2º senhor da Maia Gonçalo es Bisabuelo n°20M de Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo



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Agregado por: Ing. Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo, MD.IG.


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Shem Tov HaLevi Hitzhari ✡★Bisabuelo n°25M★ Ref: ST-1035 |•••► #ESPAÑA 🏆🇪🇸★ #Genealogía #Genealogy


 ____________________________________________________________________________

25 ° Bisabuelo/ Great Grandfather de: Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo →Shem Tov Ha-Levi Hitzhari is your 25th great grandfather.


____________________________________________________________________________



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 (Linea Materna)

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Shem Tov Ha-Levi Hitzhari is your 25th great grandfather.of

→(1) Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo

→(2)  Morella Álamo Borges

your mother 

→(3) Belén Borges Ustáriz

her mother 

→(4) Elias Felipe Borges Santamaría

her father 

→(5) Elias Borges y Codecido

his father 

→(6) María Josefa Juliana Codecido Salazar y Lamas

his mother 

→(7) María de los Angeles Rodríguez de Lamas Marvez

her mother 

→(8) María Antonia Marvez Rojas

her mother 

→(9) María Antonia de Rojas Queipo y Loaysa

her mother 

→(10) Miguel Rojas Queipo del Llano, Maestre de Campo

her father 

→(11) Miguel de Rojas, Alferez y Alguacil Mayor

his father 

→(12) Jussephe (José) de Alvarez y Rojas

his father 

→(13) María Josefa Gómez de Agüero y Rojas

his mother 

→(14) Ana de Rojas

her mother 

→(15) Lázaro Vásquez de Rojas de Ayala

her father 

→(16) Aldonza de Ayala y Romero

his mother 

→(17) Mencía Romero

her mother 

→(18) Aldonza Núñez de Toledo

her mother 

→(19) Mencía Núñez

her mother 

→(20) Pedro Suarez de Cartagena

her father 

→(21) Isaac Simon Ha-Levi, judio de Soria

his father 

→(22) Abraham de la Cavalleria de la Cavalleria Ha Leví

his father 

→(23) Don Judah Ha-Levi de la Cavallería, "Nasi"

his father 

→(24) Rabbi Avraham HaLevi ben Zechariah

his father 

→(25) Zerachiah Gracian-Hen haLevi of Girona (Ba'al haMaor)

his father 

→(26) Yitzchak Ha'Levi Hayizhari ben Reuben, Bailiff Perfet

his father 

→(27) Zerachyah Reuben Ha'Levi ben Shemtov Halevi

his father 

→(28) Shem Tov Ha-Levi Hitzhari

his father

 

-------------------------------------------------------------------------------------


Shem-Tov Tov HaLevi  MP

Hebrew: רבינו שם טוב בן שלמה הלוי

Gender: Male

Birth: 1035

Girona, Girona, Catalonia, Spain

Death: 1110 (74-76)

Provance, France

Immediate Family:

Son of Yitzhak Shlomo HaLevi and Wife Hayitzhari

Husband of Wife Halevi

Father of Zerachyah Reuben Ha'Levi ben Shemtov Halevi

Added by: Jacob Blum on June 8, 2007

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Shem Tov Ha-Levi, one of the greatest Talmudic scholars in Provence, who claimed direct descent of the prophet Samuel, who according to Jewish tradition was a direct descendant of Yitzhar (hence the family name "Ha-Yitzhari"), son of Kehath, son of Levi, son of Jacob.


.


According to the masoretic text, Kohath's family tree would be-:


http://en.wikipedia.org/wiki/Kohath


Shem Tov Ha-Levi, one of the greatest Talmudic scholars in Provence, who claimed direct descent of the prophet Samuel, who according to Jewish tradition was a direct descendant of Yitzhar (hence the family name "Ha-Yitzhari"), son of Kehath, son of Levi, son of Jacob.


Berdichevsky-Sokolka Families Tree - HaLevi Of Barcelona, Shemtov


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Wife Halevi

wife


Zerachyah Reuben Ha'Levi ben She...

son


Yitzhak Shlomo HaLevi

father


Wife Hayitzhari

mother

CONTEXTO HISTORICO


✺- 1035→Nace el Reino de Aragón, por la unión de los condados de Aragón, Sobrarbe y Ribagorza en la figura de Ramiro I→

→Comienzo del reinado de Fernando I de León

División del reino de Pamplona


✺- 1045→El Imperio bizantino conquista Armenia, en la última acción ofensiva en Asia de su historia


✺- 1055→Iglesia católica: Víctor II es elegido papa.

→ España cristiana: Diego Flaínez, padre del Cid conquista a Navarra para Castilla los castillos de La Piedra y de Úrbel del Castillo que cerraban el paso a través del valle del alto Úrbel


✺- 1065→Sancho Ramírez de Aragón conquista Barbastro y contrae matrimonio con Isabel de Urgel, hija de Ermengol III de Urgel


✺- 1075→Alfonso VI de León establece la diócesis de Burgos como continuación canónica de la antigua diócesis de Oca→

Nacimientos

Lotario II, emperador del Sacro Imperio Romano Germánico→

→Orderico Vital, cronista inglés→

→Ramiro II El Monje, rey de Aragón

→ Fallece: Trastamírez, 2º senhor da Maia Gonçalo es Bisabuelo n°20M de Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo


✺- 1085→25 de mayo. Alfonso VI de Castilla conquista Toledo y se corona rex hispaniae


✺- 1095→Urbano II confirma el establecimiento de la diócesis de Burgos, llevado a cabo por Alfonso VI de Castilla en 1075


✺- 1105→El reino de Tamna, vasallo de la Dinastía Goryeo, fue anexionado oficialmente a esta→

→Nacimientos

1 de marzo - Alfonso VII, rey de Galicia (1111-1157), de León (1126-1157) y de Castilla (1127-1157). Hijo de la reina Urraca I de León y padre de los reyes Sancho III de Castilla, rey de Castilla, y de Fernando II de León→

→Melisenda, reina de Jerusalén (1131-1153)→

→Fallecimientos

Raimundo de Tolosa, conde de Tolosa



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Agregado por: Ing. Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo, MD.IG.


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Rabbi Solomón Ha-Levi Nuñez de la Cavalleria ✡★(Es Tu Tío Abuelo Número 18)★ Ref: RS-1355 |•••► #ESPAÑA 🏆🇪🇸★ #Genealogía #Genealogy


 (Es Tu Tío Abuelo Número 18)-is your 18th great uncle de: Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo →Rabbi Solomón Ha-Levi Nuñez de la Cavalleria is your 18th great uncle.


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(Linea Materna)

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Rabbi Solomón Ha-Levi Nuñez de la Cavalleria is your 18th great unclof

→(1) Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo

→(2)  Morella Álamo Borges (your mother) 

→(3) Belén Eloina Borges Ustáriz (her mother) 

→(4) Belén de Jesús Ustáriz Lecuna (her mother) 

→(5) Miguel María Ramón de Jesús Uztáriz y Monserrate (her father) 

→(6) María de Guía de Jesús de Monserrate é Ibarra (his mother) 

→(7) María Manuela Ibarra y Galindo (her mother) 

→(8) Andrés Eugenio Rafael de Ibarra é Ibarra (her father) 

→(9) Juan Julián de Ibarra y Herrera (his father) 

→(10) Antonia Nicolasa Sarmiento de Herrera y Loaisa (his mother) 

→(11) Juan Sarmiento de Herrera y Fernández Pacheco, Alférez Mayor (her father) 

→(12) Agustín Sarmiento de Herrera y Rojas (his father) 

→(13) Diego Sarmiento de Rojas y Ayala (his father) 

→(14) Pedro Fernández de Saavedra, el Mozo (his father) 

→(15) Catalina Escobar de las Roelas (his mother) 

→(16) Francisco de Rojas y Escobar, el Cano (her father) 

→(17) Aldonza de Ayala y Romero (his mother) 

→(18) Mencia Romero (her mother) 

→(19) Aldonza Núñez de Toledo (her mother) 

→(20) Mencía Núñez (her mother) 

→(21) Rabbi Solomón Ha-Levi Nuñez de la Cavalleria (her brother)

 

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Rabbi Salomón Ha-Levi Nuñez de la Cavalleria 

Hebrew: שלמה הלוי מבורגוס, Spanish: Pablo García de Santa María, obispo de Cartagena, Slovak: Solomon HaLevi Nunez

Gender: Male

Birth: 1355

Burgos, Castilla y León, España (Spain)

Death: August 29, 1435 (79-80)

Cuevas de San Clemente, España (Spain)

Place of Burial: Burgos, Segovia, Castilla y León , Castile and León, España (Spain)

Immediate Family:

Son of Isaac Simon Ha-Levi, judio de Soria and María de Benveniste

Husband of Juana 'Ioanna' de Santa Maria

Father of Gonzalo de Santa Maria de Cartagena; Alonso de Santa María de Cartagena; Nathan HaLevi Wyss; Pedro de Cartagena; Maria de Santa Maria de Cartagena and 1 other

Brother of Mencía Núñez; María Núñez Ha Levi; Álvar García de Santa María; Alfonso Diaz de Cartagena and Pedro Suarez de Cartagena

Half brother of Solomón Ben Haleví de la Caballería


Added by: Phillip Botello Garcia on December 7, 2010

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https://he.wikipedia.org/wiki/%D7%A9%D7%9C%D7%9E%D7%94_%D7%94%D7%9C...


Pablo de Santa María o Pablo de Burgos, nacido Salomón Ha-Levi (español: Pablo de Santa María; Latín: Paulus Burgensis; 1350-1435) fue un teólogo católico, obispo de Burgos, comentarista bíblico y ministro guardián del sello del Consejo de Castilla. Santa María era un judío converso y antes de su bautismo se desempeñó como rabino de Burgos.


Shlomo Halevi nació en el seno de una familia que destacaba en sus actividades financieras en la corte real de Castilla. En 1389, fue enviado a representar a la corte castellana en Aquitania, Francia. Mientras estaba allí, fue tomado como rehén y encarcelado en Londres. Hasta donde se sabe, fue bautizado el 21 de julio de 1390, pero puede que esta no sea la fecha exacta; Se especula que fue bautizado, como muchos otros judíos, después de los pogromos de la KNA un año después. Junto a él, sus hijos, su hija y su hermano también se convirtieron al cristianismo. Su esposa Juana o Ioanna Benvenisti siguió siendo judía. En 1406, siguiendo una ley que permitía a los judíos volver al judaísmo, su hija Beatriz y su hijo menor Todros regresaron al judaísmo. [1] Después de su conversión al cristianismo, se trasladó a París, donde estudió teología.


En 1394 se trasladó a Aviñón, donde se acercó al papa Bonifacio IX. Al mismo tiempo, también comenzó a trabajar vigorosamente para convertir al resto de los judíos, y publicó escritos polémicos para demostrar la verdad del cristianismo. Al mismo tiempo, comenzó a ascender en las filas del maestro y fue nombrado para ocupar cargos honorables. En 1403 fue nombrado obispo de Cartagena. En 1415, obispo de su Burgos natal. A partir de 1407 ostentó el título de guardián-sello del Consejo Privado de Castella.


Su nieta, Teresa de Cartagena, nacida cristiana en 1425, fue una monja católica educada de edad y una de las pioneras del pensamiento feminista en el mundo.


Su esposa Ioanna, que se negó a convertirse al cristianismo con él y siguió siendo judía, es la protagonista del libro "The Rabbi's Wife: The Bishop's Wife" de David Jacobson y Hayuta Deutsch.


=================

Pablo Santa Maria en: La Historia de los Apellidos Judíos - La Realidad y Los Mitos -


Grandes notas sobre los nombres y sobre este notable erudito separdico convertido y cuyo nombre cambió - hay una sinagoga en Toledo Santa María La Blanca - El nombre de Santa María fue utilizado por los miembros de la familia Ha-Levi que emigraron a Nueva Galicia -

y se rebautizaron a sí mismos como Santa María, luego, "Santa María de Escobedo" - teniendo que ver con el evento del "Secretario Escobedo" -

luego el nombre era "de Escobedo" - luego fue simplemente Escovedo o Escobedo.

Por libro de Coahuila, México, Crónicas.


=============

Hermano Rabí Schlomo Ben Itzjak Ha-Levi


Grandes notas sobre los nombres y sobre este notable erudito separdico convertido y cuyo nombre cambió - hay una sinagoga en Toledo Santa María La Blanca - El nombre de Santa María fue utilizado por los miembros de la familia Ha-Levi que emigraron a Nueva Galicia -

y se rebautizaron a sí mismos como Santa María, luego, "Santa María de Escobedo" - teniendo que ver con el evento del "Secretario Escobedo" -

luego el nombre era "de Escobedo" - luego fue simplemente Escovedo o Escobedo.

Por libro de Coahuila, México, Crónicas.


Persona muy importante en la historia de Nueva Galicia: su familia y descendientes después de su conversión y cambio de nombre.


=======

Hermano Rabí Schlomo Ben Itzjak Ha-Levi


Grandes notas sobre los nombres y sobre este notable erudito separdico convertido y cuyo nombre cambió - hay una sinagoga en Toledo Santa María La Blanca - El nombre de Santa María fue utilizado por los miembros de la familia Ha-Levi que emigraron a Nueva Galicia -

y se rebautizaron a sí mismos como Santa María, luego, "Santa María de Escobedo" - teniendo que ver con el evento del "Secretario Escobedo" -

luego el nombre era "de Escobedo" - luego fue simplemente Escovedo o Escobedo.

Por libro de Coahuila, México, Crónicas.


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Juana 'Ioanna' de Santa María

esposa


Gonzalo de Santa Maria de Cartagena

sonido


Alonso de Santa María de Cartagena

sonido


Nathan HaLevi Wyss

sonido


Pedro de Cartagena

sonido


Maria de Santa Maria de Cartagena

hija


Alvar Sanchez de Cartagena

sonido


Isaac Simon Ha-Levi, judio de Soria

padre


María de Benveniste

madre


Mencía Núñez

hermana


María Núñez Ha Levi

hermana


Álvar García de Santa María

hermano


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Agregado por: Ing. Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo, MD.IG.


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CONTEXTO HISTORICO


✺- 1355→Adquisición por parte de la Villa de Caudete del Valle de los Alhorines.

→Coronación imperial de Carlos IV de Luxemburgo.

→NACE EL 17 de enero - Thomas del Woodstock, hijo del rey Eduardo III de Inglaterra y de Felipa de Henao


✺- 1365→13 de abril - Rodolfo IV de Austria, funda la ciudad de Novo mesto ( alemán: Rudolfswert) en la Baja Carniola→

→Nacimientos

5 de abril - Guillermo IV de Baviera, duque de Baja Baviera→

→20 de diciembre - Luis VII, duque de Baviera→

→Fallecimientos

27 de julio - Duque Rodolfo IV de Austria→

→Alfonso Fernández de Valencia. Obispo de Zamora y bisnieto de Alfonso X de Castilla


✺- 1375→8 de octubre: en los Países Bajos, una marea ciclónica inunda Flandes, Holanda y Zelanda. (29 años después se volverán a inundar exactamente las mismas regiones). La inundación cubre para siempre la localidad de Boterzande, que actualmente se encuentra bajo el Westerschelde (el estuario del río Escalda).1​

→16 de octubre: en la actual España, el reino de Navarra y el vizcondado de Bearne firman la carta de paz del Tributo de las Tres Vacas, tratado internacional que sigue en vigor en la actualidad→

→En la actual España, el futuro rey Juan I de Castilla, se casa con Leonor de Aragón.

→ Fallece: Bretagne Jeanne de Malesmains dame de Sens Dame de Sens de


✺- 1385→6 de abril: en Portugal, Juan I de Portugal, maestre de la Orden de Avis, se convierte en el rey Juan I→

→14 de agosto - Batalla de Aljubarrota (Crisis de 1383-1385 en Portugal): Juan I de Portugal, fundador de la Dinastía de Avís, derrota al ejército de Juan I de Castilla→

→29 de septiembre: Se coloca la primera piedra del Castillo de los Este en Ferrara, Italia


✺- 1395→El marquesado de Almansa pasó a formar parte de la Corona de Aragón


✺- 1405→Se termina la conquista de Fuerteventura (Islas Canarias) por parte de Castilla


✺- 1415→25 de octubre: derrota francesa en la Batalla de Azincourt. Los ingleses ocupan Normandía, y París y Borgoña se alían con Inglaterra. El rey inglés Enrique V participa en el gobierno de Francia pero los armagnacs y el clero proclaman rey al Delfín que reinará con el nombre de Carlos VII


✺- 1425→Blanca I de Navarra, reina de Navarra


✺- 1435→21 de septiembre - Tratado de Arras. Carlos VII de Francia se reconcilia con Felipe III de Borgoña



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Agregado por: Ing. Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo, MD.IG.


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