18° Bisabuelo/ Great Grandmother de: Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo →Alfonso VI the Brave, King of Castile and León is your 18th great grandfather.
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(Linea Materna)
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Alfonso VI the Brave, King of Castile and León is your 18th great grandfather.of→ Carlos Juan Felipe Antonio Vicente De La Cruz Urdaneta Alamo→ Morella Álamo Borges
your mother → Belén Eloina Alamo
her mother → Belén de Jesús Ustáriz Lecuna
her mother → Miguel María Ramón de Jesús Uztáriz y Monserrate
her father → María de Guía de Jesús de Monserrate é Ibarra
his mother → Teniente Coronel Manuel José de Monserrate y Urbina
her father → Antonieta Felicita Javiera Ignacia de Urbina y Hurtado de Mendoza
his mother → Isabel Manuela Josefa Hurtado de Mendoza y Rojas Manrique
her mother → Juana de Rojas Manrique de Mendoza
her mother → Constanza de Mendoza Mate de Luna
her mother → Fernando Mathé de Luna
her father → Estefanía Rodríguez de Ceballos, señora de Vado de las Estacas y Villalba
his mother → Ruy / Rodrigo González de Ceballos
her father → Gonzalo Díaz de Ceballos y Ordóñez
his father → Diego Ruiz de Ceballos y González Girón
his father → Teresa González Girón
his mother → Sancha Rodríguez de Lara
her mother → D. Rodrigo Rodríguez de Lara, señor de Peñalba, Quintanilla y Traspinedo
her father → Sancha Alfónsez, Infanta de Castilla y León
his mother → Alfonso VI the Brave, King of Castile and León
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Alfonso VI "el Valiente" de León y Castilla, rey de Castilla y León MP
español: Rey de León Alfonso VI «el Bravo» de Castilla y León, rey de Castilla, catalán: Alfons VI «el Valent» de Castella i Lleó, rei de Castella i Lleó, portugués: Afonso VI «o Bravo» de Castela e Leão, rei de Castela e Leão
Género: Masculino
Nacimiento: 1047
Compostela, Ourense, Galicia, España (España)
Muerte: Julio 01, 1109 (61-62)
Toledo, Toledo, Castilla La Mancha, España
Lugar de enterramiento: Monasterio de San Benito, Sahagún, León, Castilla y León, España
Familia inmediata:
Hijo de Fernando I el Grande, rey de Castilla y Sancha I, reina de León
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Husband of Constance de Bourgogne, Queen consort of Castile and Leon; Berta de Bourgogne, regina de León; Isabel; Dª. Zaida (Isabel), reina de León and Beatrix de Aquitania, Reina consorte de León
Ex-husband of Inés de Aquitania
Fiancé of Agathe de Normandie, Princess of England
Partner of Jimena Muñoz
Ex-partner of Mãe Incógnita
esposo de Constanza de Borgoña, reina consorte de Castilla y León; Berta de Borgoña, regina de León; Isabel; Dª. Zaida (Isabel), reina de León y Beatriz de Aquitania, Reina consorte de León
Exmarido de Inés de Aquitania
Prometida de Agathe de Normandie, Princesa de Inglaterra
Pareja de Jimena Muñoz
Expareja de Mãe Incógnita
Padre de N.N. Alfonso de Léon; Urraca I, reina de Castilla y León; Teresa de Leão, condesa de Portugal; Elvira Alfonso, condesa de Tolosa; Elvira Alfónsez, infanta de Castilla y León y 2 personas más
Hermano de Urraca de León, reina titular de Zamora; Sancho II el Fuerte, rey de Castilla; Elvira, reina titular de Toro; García I, rey de Galicia y Tigridia, Infanta de Castilla y León
Añadido por: Robert Johan Belien el 11 de mayo de 2007
Gestionado por: Doctor Leopoldo José Briceño-Iragorry Calcaño, MD y 269 personas más
Comisariada por: Luis E. Echeverría Domínguez, Curador Voluntario
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Acerca dehistoria
Los registros franceses tienen matrimonios con esposas en este orden:
Mariage Ferdinand Ier le Grand avec Sancie Afonso de León
Fernando ou Ferdinand Ier le Grand épouse en 1032 ou 1033 Sancie Afonso de León. Leurs enfants sont :
Urraca (1033-1101),
Sanche Ferdinandez dit Sanche II le Fort (1037-1072), Roi de Castille et León,
Elvira (1038-15 novembre 1101),
Alfonso ou Alphonse VI de Castille surnommé le Vaillant (1039 ou 1040-1er ou le 29 juillet 1109), Roi de Castille, de León de Tolède, de Galice, qui épousera :
(1) en 1069 Agnès de Poitou,
(2) en 1081 Constance de Bourgogne,
(3) en 1092 Isabelle ou Zaïda de Séville,
(4) en 1093 Berthe de Bourgogne-Comté,
(5) en 1108 Béatrice d'Aquitaine,
Garcia Ferdinandez ou Garcia II de Castille (1042-1090), Roi de Galicie, Comte de Portugal.
!perfil necesita arreglo!
http://fmg.ac/Projects/MedLands/CASTILE.htm#AlfonsoVIdied1109B
https://es.wikipedia.org/wiki/Alfonso_VI_de_Le%C3%B3n
http://genealogics.org/getperson.php?personID=I00020895&tree=LEO
Alfonso VI (antes de junio de 1040 - 29 de junio / 1 de julio de 1109), apodado el Valiente, fue rey de León de 1065 a 1109 y rey de Castilla desde 1072 tras la muerte de su hermano. Como fue el primer Alfonso en ser rey de Castilla, a veces se le conoce como Alfonso I de Castilla. En 1077 se proclamó "Emperador de toda Hispania". Mucho romance se ha reunido alrededor de su nombre.
http://en.wikipedia.org/wiki/Alfonso_VI_of_Castile
Alphonse VI de León et Castille1, surnommé le Brave, né avant juin 1040, mort le 1er juillet 1109, roi de León (1065-1109), roi de Castille (1072-1109) à la mort de son frère, roi de Tolède (1085-1109) par conquête et roi de Galice (1090-1109) à la mort de son autre frère. Il était le fils de Ferdinand Ier de Castille, de León et Asturies et de Sancha de León.
Lorsque Ferdinand Ier de Castille et de León, père d'Alphonse, meurt en 1065, le royaume est partagé entre ses trois fils. Alphonse, dit le Brave, reçoit le royaume de León. Après une guerre fratricide avec son aîné, Sanche II, il y asseoit son pouvoir et parvient à unifier le royaume castillan.
En 1069, il fait payer tribut à Abbad III, roi de Séville sous la dynastie des Abbadides.
Fort de ce succès, il se lance dans la reconquête de l'Espagne musulmane (ou Reconquista), divisée depuis l'effondrement du califat de Cordoue en principautés indépendantes (les taïfas de la première période). Soutenu par les moines de Cluny et le pape Grégoire VII, Alphonse, marié à Constance de Bourgogne, fait appel aux chevaliers bourguignons. En 1085, après un siège de quatre années, Tolède est prise.
Cependant, les princes musulmans appellent à leur secours les Almoravides qui franchissent le détroit de Gibraltar et mettent en déroute Alphonse VI à la bataille de Sagrajas, en octobre 1086. Mais les Almoravides ne réussissent pas à tirer avantage de leurs victoires militaires, comme celles de Consuegra (1097) et de Malagón (1100). Le Cid Campeador, au service d'Alphonse, symbolise cette résistance chrétienne à l'Islam.
Beaucoup de romans de chevalerie ont illustré son nom. Dans la chanson de geste du Cid , il joue le rôle attribué par le poète médiéval aux plus grands rois et à Charlemagne lui-même. Il est tour à tour l'oppresseur et la victime héroïque et obstinée - le type idéal de protecteur que chantaient les jongleurs et les troubadours. Il est le héros d'une chanson de geste qui tout comme les chants espagnols primitifs, les chansons de Bernard del Carpio et la légende des Infants de Lara n'existent plus que dans des fragments incorporés dans la Chronique d'Alphonse le Sage.
Avec un peu d'indulgence, Alphonse VI est présenté comme un homme fort qui agit comme un roi don't les intérêts sont la loi et l'ordre et qui est le chef d'une nation en reconquête. Alphonse s'est marié deux fois. Avant Constance de Bourgogne, il est fiancé avec Agathe, fille de Guillaume le Conquérant. Sous l'influence, dit-on, de sa femme Constance, il implante l'Ordre des Cisterciens dans son royaume, les établissant à Sahagún et choisit un cistercien français Bernard comme premier archevêque de Tolède après la reconquête.
Mariages et descendance
Ep. 1069 Agnès de Poitiers, fille Guillaume VI, duc Aquitaine, répudiée 1079.
Ep..... Ximena de Guzmán
Ep. 1081 Constanza de Borgoña, fille de Robert Ier duc Bourgogne et d'Ermengar de Hélie de Saumur
Ep. 1093 Berthe de Bourgogne, fille du comte palatin Guillaume Ier de Bourgogne et d'Étiennette de Bourgogne
Ep.(?) 1098 Zaïda, fille de l'émir Abulkasim Muhammad Ben Abbad Al'tanmid de Séville
Il marie ses filles Urraque, la légitime, et Thérèse de León, l'illégitime, avec des princes français et par tous moyens favorise l'influence française – la plus grande force civilisée en Europe. Il rapproche aussi son royaume de la papauté et décide de remplacer le vieux rite de saint Isidore, le rite mozarabe, par le rite romain. D'un autre côté, il est très ouvert à l'influence arabe, protège ses sujets maures et bat monnaie avec des inscriptions en lettres arabes. Après la mort de Constance, il s'est peut-être marié et a certainement vécu avec la princesse Zaïda. Sa femme Isabelle est peut-être cette princesse convertie au christianisme sous le nom de Marie ou d'Isabelle.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alphonse_VI_de_Castille
Alfonso VI de León y Castilla
De Wikipedia, la enciclopedia libre
Alfonso VI (1040 - 1 de julio de 1109), rey de León desde el 27 de diciembre de 1065, de Galicia y de Castilla desde el 6 de octubre de 1072, fue apodado el Bravo. Hijo de Fernando I el Magno, rey de León, Galicia y Castilla (1035-1065) y de Doña Sancha de León.
A la muerte de su padre en 1065 recibió el Reino de León, mientras que a su hermano primogénito Sancho le correspondió Castilla, y a su hermano menor, García, Galicia. Alfonso tuvo que enfrentarse desde muy pronto con los deseos expansionistas de su hermano Sancho. La paz solo duró mientras vivió su madre, la reina Sancha, pero tras su muerte (1067) comenzaron las disputas. Sancho no aceptó el testamento de su padre y quiso apoderarse de los territorios que habían pasado a sus hermanos. Destronó con facilidad a su hermano García, y después de las batallas de Llantada (1068) y Golpejera en 1072, Alfonso es hecho prisionero por Sancho, el cual se hace así con la corona leonesa.
Alfonso fue encarcelado en Burgos, de donde logra fugarse y se refugia bajo la protección del rey taifa de Toledo. Otras versiones dicen que se le peló y se le obligó a tomar la casulla en el monasterio de Sahagún de donde huyó con la ayuda del abad y del conde Pedro Ansúrez.
El asesinato de Sancho II, a manos de un caballero portugués, Vellido Dolfos en el asedio de Zamora, le permitió recuperar el trono y reclamar para sí el de Castilla, al no tener Sancho herederos. En este momento la leyenda sitúa la jura exculpatoria de su posible participación en la muerte de Sancho, que tomó El Cid a Alfonso en la iglesia de Santa Gadea de Burgos (Juras de Santa Gadea). Estos sucesos fueron aprovechados por García para recuperar el trono gallego, pero al año siguiente, en 1073, es nuevamente depuesto y encarcelado de por vida en el castillo de Luna (en donde falleció en 1090). A partir de este momento Alfonso se dedicó a engrandecer sus territorios, fundamentalmente a costa de los musulmanes, combinando la presión militar y la extorsión económica. En 1076, tras la muerte del monarca navarro Sancho Garcés IV se anexionó los territorios de Álava, Vizcaya, Guipúzcoa y La Bureba, adoptando en 1077 el título de Emperador.
Respecto a los musulmanes, en los primeros años de su reinado, Alfonso siguió con la práctica de explotación económica mediante el sistema de parias, consiguiendo que la mayor parte de los reinos de taifas de la España musulmana fuesen sus tributarios. Aprovechó el llamamiento de ayuda del rey taifa de Toledo contra un usurpador para poner sitio a Toledo, la cual cayó el 25 de mayo de 1085. Tras esta victoria, el monarca se tituló emperador de las dos religiones. La ocupación del reino de Toledo significó la incorporación a su reino del territorio situado entre el Sistema Central y el río Tajo. De esta forma, puede iniciar una gran actividad militar contra las taifas: Córdoba, Sevilla, Badajoz y Granada estaban directamente amenazadas por Alfonso.
En estas circunstancias, los reyes de taifas (Sevilla, Granada, Badajoz y Almería) decidieron pedir ayuda a los almorávides, los cuales desembarcan en la península. El emir almorávide Yusuf ibn Tasfin consiguió vencer a Alfonso VI en las batallas de Zalaca(1086), cerca de Badajoz, Consuegra (1097) y Salatrices (1106), donde Alfonso recibió una herida en la tibia izquierda de la que nunca curó, herida que todavía es perceptible en los restos de su esqueleto.
Los almorávides sitiaron varias veces Toledo, pero sin conseguir tomarla. En los últimos años de su reinado, Alfonso se esforzó en impedir que los almorávides se consolidasen en la España musulmana, sin éxito. Los reinos de taifas del sur de España, y el de Denia, fueron ocupados por los almorávides, que derrotaron de nuevo al monarca en Uclés (1108) donde además morirá Sancho Alfónsez, su único hijo varón. La corona terminaría por ello en manos de su hija, la infanta doña Urraca, aunque su otra hija, Teresa (mi ANCESTRO), se quedaría con el condado portucalense que bajo el mando de su hijo Alfonso Raimúndez se convirtió en el Reino de Portugal.
Murió en Toledo y fue enterrado en el Monasterio de Sahagún, villa ésta muy apreciada por el monarca, a la cual concedió ciertos privilegios en el denominado Fuero de Sahagún. Así mismo, fortaleció enormemente al monasterio de la orden de San Benito, alcanzándose bajo su reinado la mayor prosperidad de la villa y del monasterio, que bastantes años después llegaría a fundar incluso su propia universidad.
En el terreno cultural Alfonso VI fomentó la seguridad del Camino de Santiago e impulsó la introducción de la reforma cluniacense en los monasterios de León y de Castilla.
El monarca sustituyó la liturgia mozárabe o toledana por la romana.
Vida personal
—Primer Matrimonio: con Inés de Aquitania en 1069. Luego de 8 años de unión, en 1077, el rey obtiene la anulación de su boda alegando la esterilidad de Ines. Ella morirá un año más tarde, en 1078.
Tras su divorcio, entabla conversaciones para un posible matrimonio con Agatha de Normandía, hija del rey Guillermo I de Inglaterra, pero su muerte prematura en 1080 frustro el proyecto.
—Segundo Matrimonio: con Constanza de Borgoña en 1081. Ella era bisnieta de Hugo Capeto, rey de Francia, y además viuda, sin hijos, del conde Hugo II de Châlon. De este matrimonio (que duró hasta su muerte en 1093) nacieron 2 hijas:
Urraca (n. 1081 - m. 1126), la cual acabaría siendo la sucesora de su padre en el trono castellano-leones
Elvira (n. 1082 - m. joven).
—Tercer Matrimonio: con Berta de Borgoña-Maçon en 1093. Ella morirá en 1095 sin descendencia.
—Cuarto Matrimonio: con Zaida (bautizada Isabel), viuda del gobernador de Córdoba, Al-Mamun en 1091. De este matrimonio (que dura hasta la muerte de Zaida en 1107) nacieron 3 hijos:
Sancho (n. 1098 - m. 1108), único hijo varón y presunto heredero del rey; su prematura muerte en la batalla de Uclés aceleró el fin de su padre.
Elvira (n. 1100 - m. 8.2.1135), casada con Roger II, rey de Sicilia.
Sancha (n. 1101 - m. ?), casada con Rodrigo de Lara, conde de Liébana.
Otras teorías dicen que Zaida murió en 1093 o 1094 y que Elvira y Sancha son hijas de la reina Isabel, que tenía el mismo nombre que ella. Hay debate al respecto entre los historiadores. Según estas teorías, el matrimonio con la reina Isabel duró de 1100 a 1107 y Sancho debió nacer en el segundo semestre de 1093 o en el primero de 1094.
—Quinto Matrimonio: con Beatriz (su origen es dudoso, posible miembro de la casa de Este o de la casa ducal de Aquitania). Este enlace, celebrado en 1108, durará solo un año, hasta la muerte del rey. Muerto el rey, la reina regresó a su país.
Además, tuvo varias relaciones extra-matrimoniales, siendo la más notoria la que tuvo con:
Jimena Muñoz (o Nuñez de Guzmán o Núñez de Lara según algunos historiadores), la cual le dio 2 hijas:
Teresa de León (n. 1070 - m. 1132), condesa de Portugal como parte de su dote nupcial, casada con Enrique de Borgoña; el hijo de ambos, Alfonso I Enríquez, será el primer rey de Portugal.
Elvira (n. 1071 - m. 1151), casada con Raimundo IV, conde de Tolosa.
Alfonso VI, el conquistador de Toledo, el gran monarca europeizador, ve, en los últimos años de su reinado, cómo la gran obra política realizada se resquebraja ante el empuje almorávide y las debilidades internas. Alfonso VI había asumido plenamente la idea imperial leonesa y su apertura a la influencia europea le había hecho conocer las prácticas políticas feudales, que en la Francia de su tiempo, alcanzaban su expresión más acabada. En la conjunción de estos dos elementos, ve Claudio Sánchez-Albornoz la explicación de la concesión iure hereditario -anómala en la tradición histórica castellanoleonesa- de los gobiernos de los Reino de Galicia y Portugal a sus dos yernos borgoñones, Raimundo, primer marido de Urraca, y Enrique, casado con Teresa. De esa decisión, arrancó, a la vuelta de unos años, la independencia portuguesa y la perspectiva de una Galicia independiente bajo Alfonso Raimúndez, que luego no se hizo realidad al convertirse éste en Alfonso VII de Castilla y León.
Alfonso, restregando el sueño de sus ojos, componiendo con los dedos sus revueltos cabellos, avanzó, la cabeza erguida y el orgullo en el alma: "¿Hasta cuándo me vais a engañar? ¿Qué queréis aquí?, fue su saludo. "Pues queríamos --respondieron ellos humildemente-- pedir auxilio a tal y tal de los reyes de taifas. Nos queda esta esperanza última." Y Alfonso, sin nada replicarles hirió nerviosamente el suelo con el pie, dio unas palmadas, y al que se presentó le dijo: "Que vengan los embajadores de Ben Abbed, de Sevilla." Los embajadores vinieron; arrastraban sus rozagantes ropas de gala; en sus bocas traían frases de gran rendimiento: "oído y obedecido", con todas las demás zalamerías que podían. El emperador no les dirigió sino palabras altaneras, y cuando los embajadores le presentaron multitud de tesoros preciosos, él, apartando con el pie todo aquello que le habían puesto delante, mandó a sus servidores retirarlo de allí. Después fue llamando a otros embajadores de los reyes de taifas, y a todos trató con igual desdén y de todos recogieron los sirvientes del cristiano dones en abundancia.
Los cuitados magnates toledanos se hartaron de admirar a qué grado de envilecimiento habían llegado todos los reyes de taifas, y con el más amargo desengaño salieron de la presencia del emperador para volverse a Toledo.
Allí se escondieron, solitarios, avergonzados, durante tres días, al cabo de los cuales la ciudad se entregó al sitiador.
Toledo se rindió el 6 de mayo de 1085.
Alfonso gifta Minst fem gånger och hade Två älskarinnor och en fästmö
Otros cónyuges: Constance av Burgund
Alfonso VI (före juni 1040 - 1 juli 1109), med smeknamnet the Brave, var kung av León 1065 till 1109 och kung av Kastilien sedan 1072 efter sin brors död. Eftersom han var den första Alfonso att vara kung av Kastilien, är han ibland kallas Alfonso I av Kastilien. En 1077, utropade han sig till "Kejsare av alla Hispania". Mycket romantik har samlat kring hans namn.
Som den andra och favorit son till kung Ferdinand I av Kastilien och prinsessan Sancha i León, tilldelades Alfonso León, medan Kastilien fick hans äldste bror Sancho, och Galicien att hans yngste bror García. Sancho mördades år 1072. García avsattes och fängslades för livet följande år.
I cantar de Gesta Lay av Cid, spelar han den del förklaras enligt medeltida poeter till största kungar, och till Karl den store själv. Han är omväxlande förtryckare och offer för heroiska och egensinnig adeln - den idealiserade typer av beskyddare för vilka jongleurs och trubadurer sjöng. Han är hjälten i cantar de Gesta, som liksom alla utom ett fåtal av de tidiga spanska sånger, liksom cantar av Bernardo del Carpio och Infantes Lara, existerar nu bara i fragment ingår i krönika Alfonso den vise eller i ballad form.
Sin flykt från klostret Sahagún, där hans bror Sancho försökt fängsla honom, hans ridderliga vänskap för sin värd Almamun i Toledo, Caballero aunque Moro ", en riddare även om en mor", den passionerade lojalitet hans vasall, Pero (Pedro) Ansúrez, och hans broderlig kärlek till sin syster Urraca Zamora, kan vara skyldig till något till poeten som tog honom som en hjälte.
De är svaret på poeten adelsmän som företrädde kungen som har lämnats in till att ta ett förnedrande ed i händerna på Rodrigo Díaz de Vivar (El Cid) att förneka inblandning i sin brors död i kyrkan Santa Gadea i Burgos, och så har sedan förföljt den modige mannen som trotsade honom.
När varje utrymme annat, står Alfonso VI ut som en stark man kämpar som en kung vars intresse var lag och ordning, och som var ledare för nationen i återerövringen. Han imponerade sig på araberna som en mycket stark och listig fiende, utan som en innehavare av hans ord. En historia av muslimskt ursprung, vilket förmodligen inte mer historisk än ed Santa Gadea, berättar om hur han lät sig luras av Ibn Ammar, favoriten Al Mutamid, kungen av Sevilla. De spelade schack för en mycket vacker bord och uppsättning av män, som tillhör Ibn Ammar. Tabell och män skulle gå till kungen om han vann. Om Ibn Ammar fick han till namnet insatsen. Den senare segrade och krävde att den kristne kungen bör bespara Sevilla. Alfonso höll ord.
Oavsett sanningen kan ligga bakom den romantiska berättelser av kristna och muslimer, vi vet att Alfonso representerade på ett anmärkningsvärt sätt, de två stora influenser sedan forma karaktären och civilisationen i Spanien.
På uppmaning, sägs det, av hans hustru Constance, han väckte cisterciensordens ordning i Spanien, infört dem i Sahagun valde en fransk Cistersiensorderns, Bernard, som första ärkebiskop i Toledo efter återerövringen den 25 maj 1085. Han gifte sig med hans döttrar, Urraca, Teresa och Elvira till franska furstar, och på alla sätt vidarebefordrade spridningen av franska inflytandet - då störst civiliserande kraft i Europa. Han ritade även Spanien närmare påvedömet. Det var Alfonso beslut som upprättade den romerska ritualen i stället för den gamla bönboken Saint Isidore - den mozarabiska rit.
Å andra sidan var han mycket öppen för arabiska inflytande. Han skyddade muslimerna bland sina undersåtar och slog mynt med inskriptioner på arabiska bokstäver. Han medgav också att hans hov och till hans säng flyktingen muslimska prinsessan Zaida i Sevilla.
Alfonso besegrades den 23 oktober 1086, i slaget vid Zallaqa, i händerna på Yusuf ibn TashfiMarriages och childrenAlfonso gifta minst fem gånger och hade två älskarinnor och en fästmö:
Innan hans första äktenskap, han sägs ha varit förlovad med Agatha, en dotter till William I av England och Matilda av Flandern. Agatha dog innan äktenskapet kunde ske, enligt uppgift från förödmjukelse inför tanken på giftermål med Alfonso.
Hans första hustru var Agnes av Akvitanien, dotter till William VIII av Akvitanien och hans andra hustru Mateoda. De gifte sig 1069 och akademiskt åsikt delas om hon dog eller de frånskilda grund av blodsband, i slutet av 1070-talet. Granero De hade inga.
Hans andra hustru, som han gifte sig 1081, var Constance av Burgund, mor till Alfonso äldsta legitima dotter Urraca.
1093 gifte han sig med Bertha, Toscana och Lombardiet. Hon hade inga granero.
Efter hennes död gifte Alfonso en Isabel, med vilken han fick två döttrar, Elvira, (som gifte sig med Roger II av Sicilien) och Sancha, (hustru till Rodrigo González de Lara). Senare källor säger att hon var dotter till en kung Ludvig av Frankrike, men det är kronologiskt omöjligt. Reilly spekulerade hon var burgundiska ursprung, men andra gör henne identisk älskarinna Zaida.
Hans sista hustru var Beatrice. Vissa källor hävdar att hon var släkt med Hisham III, den sista emiren av Cordoba. Alternativt har det föreslagits att hon var systerdotter till första hustru Agnes, och dotter till William IX av Akvitanien. Hon hade inga barn med Alfonso.
Han hade också två kända älskarinnor.
Genom Jimena Muñoz, en "mest ädla familj", hade han två illegitima döttrar, en annan Elvira (faktiskt hans äldsta barn) och Teresa.
En andra älskarinna var Zaida i Sevilla, sade spanska muslimska källor vara dotter-in-law Al Mutamid, den muslimska kung i Sevilla. Hon var mor till Alfonso ende son, Sancho, som, även oäkta, skulle heta faderns arvinge. Flera moderna källor har föreslagit att Zaida, döpta under namnet Isabella, är identisk med Alfonso hustru, drottning Isabella (eller att hon var en andra drottning Isabel som han gifte sig med följd att den första). Zaida / Isabel dog i barnsäng, men datumet är okänt, och det är oklart om barnet levereras var Sancho, Sancha (om Zaida var identisk med drottning Isabel), eller ett extra barn, annars okänd.
Alfonso utsedda efterträdare, hans son Sancho, stupade i slaget vid Uclés under 1108, vilket gör Alfonso änka dotter Urraca hans arvinge. För att stärka sin ställning som hans efterträdare, började Alfonso förhandlingar för henne att gifta sig med sin syssling, Alfonso I av Aragonien, men dog innan äktenskapet kunde ske.
Alfonso VI (antes de junio de 1040 - 29 de junio / 1 de julio de 1109), apodado el Valiente o el Valiente, fue rey de León desde 1065 hasta 1109 y rey de Castilla desde 1072 tras la muerte de su hermano Sancho II. En 1077 se proclamó "Emperador de toda España". Mucho romance se ha reunido alrededor de su nombre.
Llamado Alfonso el Bravo, fue rey de León (1065 - 1109), de Galicia (1071 - 1072; 1072 - 1109) y de Castilla (1072 - 1109).
Alfonso VI (antes de junio de 1040 - 29 de junio / 1 de julio de 1109), apodado el Bravo (El Bravo) o el Valiente, fue Rey de León desde 1065, Rey de Castilla y Rey de facto de Galicia desde 1072, y autoproclamado "Emperador de toda España". Mucho romance se ha reunido alrededor de su nombre.
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1 Adhesión
2 Luchador fuerte
3 Matrimonios e hijos
4 Ascendencia
5 Notas
6 Enlaces externos
7 Referencias
[editar] Accesión
Como medio de tres hijos del rey Fernando I de León y Sancha de León, Alfonso fue asignado León cuando el reino se dividió tras la muerte de su padre, mientras que Castilla fue entregada a su hermano mayor Sancho, Galicia a su hermano menor García, y las hermanas Urraca y Elvira dadas las ciudades de Zamora y Toro respectivamente. A cada uno de los hermanos también se le asignó una esfera de influencia entre los estados de Taifa. Alfonso parece haber dado el primer paso en violar esta división, en 1068 invadiendo el cliente gallego Taifa de Badajoz y extorsionando tributo. En respuesta, Sancho atacó y derrotó a Alfonso en Llantada, pero tres años más tarde, en 1071, unieron fuerzas contra García. Sancho sobrecostó el León de Alfonso para conquistar las tierras del norte de García, mientras que el propio Alfonso se encuentra emitiendo cartas en la parte sur del reino gallego. García huyó a la taifa sevillana, y los hermanos restantes se volvieron el uno contra el otro. Este conflicto culminó en la Batalla de Golpejera a principios de enero de 1072. Sancho resultó victorioso y el propio Alfonso se vio obligado a huir a su cliente Taifa de Toledo. Más tarde ese año, cuando Sancho estaba limpiando el último de la resistencia, asediando a su hermana Urraca en Zamora en octubre, fue asesinado, abriendo el camino para que Alfonso volviera a reclamar la corona de Sancho. García, inducido a regresar del exilio, fue encarcelado por Alfonso de por vida, dejando a Alfonso en control indiscutible de los territorios reunidos de su padre. En reconocimiento a esto y a su papel como el monarca cristiano preeminente en la península, en 1077 se proclamó "Emperador de toda España".
En el cantar de gesta El laico del Cid, interpreta el papel atribuido por los poetas medievales a los reyes más grandes, y al propio Carlomagno. Es alternativamente el opresor y la víctima de nobles heroicos y voluntariosos, los tipos idealizados de los patrones para quienes cantaban los jongleurs y trovadores. Es el héroe de un cantar de gesta que, como todos menos muy pocos de los primeros cantos españoles, como el cantar de Bernardo del Carpio y los Infantes de Lara, existe ahora sólo en los fragmentos incorporados en la crónica de Alfonso el Sabio o en forma de balada.
Su huida del monasterio de Sahagún (Safagún en lengua leonesa), donde su hermano Sancho se esforzó por encarcelarlo, su amistad caballeresca con su anfitrión Almamón de Toledo, caballero aunque moro, "caballero aunque moro", la lealtad apasionada de su vasallo, Pero (Pedro) Ansúrez, y su amor fraternal por su hermana Urraca de Zamora, pueden deberle algo al poeta que lo tomó como héroe.
Son la respuesta al poeta de los nobles que representaba al rey como si se hubiera sometido a prestar un juramento degradante a manos de Rodrigo Díaz de Vivar (El Cid) para negar la intervención en la muerte de su hermano en la iglesia de Santa Gadea de Burgos, y como haber perseguido entonces al valiente que le desafió.
[editar] Luchador fuerte
Cuando se hace cada concesión, Alfonso VI se destaca como un hombre fuerte que lucha como un rey cuyo interés era la ley y el orden, y que fue el líder de la nación en la reconquista. Se impresionó a sí mismo en los árabes como un enemigo muy feroz y astuto, pero como un guardián de su palabra. Una historia de origen musulmán, que probablemente no sea más histórica que el juramento de Santa Gadea, cuenta cómo se dejó engañar por Ibn Ammar, el favorito de Al Mutamid, el rey de Sevilla. Jugaban al ajedrez para una mesa extremadamente hermosa y un conjunto de hombres, pertenecientes a Ibn Ammar. Mesa y hombres debían ir al rey si ganaba. Si Ibn Ammar ganaba, debía nombrar la estaca. Este último ganó y exigió que el rey cristiano perdonara a Sevilla. Alfonso cumplió su palabra.
Cualquiera que sea la verdad que pueda haber detrás de los cuentos románticos de cristianos y musulmanes, sabemos que Alfonso representó las dos grandes influencias que entonces dieron forma al carácter y la civilización de Hispania.
Alfonso mostró un mayor grado de integración continental que sus predecesores. Las prácticas matrimoniales de la realeza ibérica habían sido en gran parte endogámicas, limitando previamente la elección de parejas a la península y Gascuña, pero Alfonso se casó con esposas francesas e italianas, mientras casaba hijas con príncipes franceses y un rey italiano. Su segundo matrimonio fue arreglado, en parte, a través de la influencia de la Orden Cluniacense francesa, y se dice que Alfonso los introdujo en Hispania, los estableció en Sahagún y eligió a un cluniacense francés, Bernardo, como el primer arzobispo de Toledo después de su conquista en 1085. También acercó su reino al papado, un movimiento que llevó a los cruzados franceses para ayudarlo en la reconquista, y fue la decisión de Alfonso la que estableció el ritual romano en lugar del antiguo misal de San Isidoro, el rito mozárabe.
Por otro lado, estaba muy abierto a la influencia árabe. Protegió a los musulmanes entre sus súbditos y acuñó monedas con inscripciones en letras árabes. También admitió en su corte y en su cama a la princesa musulmana refugiada Zaida de Sevilla.
Alfonso fue derrotado el 23 de octubre de 1086, en la batalla de Sagrajas, a manos de Yusuf ibn Tashfin, y Abbad III al-Mu'tamid, y fue gravemente herido en la pierna.
[editar] Matrimonios e hijos
Alfonso se casó al menos cinco veces y tuvo dos amantes y una prometida:
En 1067, se dice que dos hermanos de Iberia compitieron por la mano de Agatha, una de las hijas de Guillermo I de Inglaterra y Matilde de Flandes y anteriormente prometida de Harold Godwinson. Alfonso tuvo éxito, y fue prometido a Agatha. Monja en ese momento, se dice que Agatha oró por la muerte en lugar de ser obligada a casarse con Alfonso, y murió antes de que el matrimonio pudiera tener lugar.
Epitafio de Jimena Muñoz, amante de Alfonso y progenitora de la primera línea real portuguesaEn 1069, Alfonso se casó con Inés de Aquitania, hija de Guillermo VIII de Aquitania y su segunda esposa Mateoda. La última vez que aparecen juntos es mayo de 1077, y luego Alfonso aparece solo. Esto sugiere que había muerto, aunque Orderic Vitalis informa que en 1109 la "reliquia" de Alfonso, Inés, se volvió a casar con Elías I de Maine, lo que llevó a algunos a especular que Alfonso e Inés se habían divorciado debido a la consanguinidad. Parece más probable que Orderic diera el nombre equivocado a la viuda de Alfonso, Beatriz. Inés y Alfonso no tuvieron hijos.
Al parecer entre su primer y segundo matrimonio formó un enlace con Jimena Muñoz, una concubina "nobilissima" "derivada de la realeza". Ella parece haber sido dejada de lado, se le dieron tierras en Ulver, en el momento del nuevo matrimonio de Alfonso. Con ella Alfonso tuvo dos hijas ilegítimas, Elvira y Teresa.
Su segunda esposa, con quien se casó en mayo de 1080, fue Constanza de Borgoña, hija de Roberto I, duque de Borgoña. Este matrimonio inicialmente enfrentó la oposición papal, aparentemente debido a su parentesco con Inés. Su mandato como reina consorte trajo importantes influencias cluniacenses al reino. Murió en septiembre u octubre de 1093, madre de la hija legítima mayor de Alfonso, Urraca, y de otros cinco hijos que murieron en la infancia.
Antes o poco después de la muerte de Constanza, Alfonso formó un enlace con una segunda amante, Zaida de Sevilla, según fuentes musulmanas ibéricas, nuera de Al Mutamid, el rey musulmán de Sevilla. Huyó de la caída de Sevilla hacia el reino de Alfonso en 1091, y pronto se convirtió en su amante, teniendo con él al único hijo de Alfonso, Sancho, quien, aunque ilegítimo, aparentemente no nació de una relación adúltera, y por lo tanto nació después de la muerte de Constanza. Sería nombrado heredero de su padre. Varias fuentes modernas han sugerido que Zaida, bautizada bajo el nombre de Isabel, es idéntica a la posterior esposa de Alfonso, la reina Isabel (o que fue una segunda reina llamada Isabel con quien se casó sucesivamente con la primera). Zaida/Isabel murió en el parto, pero se desconoce la fecha, y no está claro si el niño que estaba dando a luz era Sancho, un hijo ilegítimo adicional, por lo demás desconocido, o la hija legítima Elvira (si Zaida era idéntica a la reina Isabel).
En abril de 1095, Alfonso se casó con Bertha. Los cronistas informan que era de Toscana, Lombardía o, alternativamente, dicen que era francesa. Se han presentado varias teorías sobre su origen. Basándose en consideraciones políticas, las propuestas la hacen hija de Guillermo I, conde de Borgoña o de Amadeo II de Saboya. No tuvo hijos y murió a finales de 1099 (Alfonso aparece por primera vez sin ella a mediados de enero de 1100).
A los pocos meses, en mayo de 1100, Alfonso se volvió a casar, con Isabel, teniendo con sus dos hijas, Sancha, (esposa de Rodrigo González de Lara), y Elvira, (que se casó con Roger II de Sicilia). Una inscripción de tumba no contemporánea dice que era hija de un "rey Luis de Francia", pero esto es cronológicamente imposible. Se ha especulado que era de origen borgoñón, pero otros concluyen que Alfonso se casó con su antigua amante, Zaida, que había sido bautizada como Isabel. (En un giro novedoso, Reilly sugirió que hubo dos reinas sucesivas llamadas Isabel: primero la francesa (borgoñona) Isabel, madre de Sancha y Elvira, con Alfonso solo más tarde casándose con su amante Zaida (Isabel), después de la muerte o el divorcio de la primera Isabel). Alfonso volvió a enviudar a mediados de 1107.
En mayo de 1108, Alfonso se casó con su última esposa, Beatriz. Se dice que ella, como viuda de Alfonso, regresó a su hogar en Francia, pero no se sabe nada más de su origen a menos que sea la mujer orderica llamada "Agnes, hija de Guillermo, duque de Poitou", que como relicto de Alfonso, (Agnetem, filiam Guillelmi, Pictavorum ducis, relictam Hildefonsi senioris, Galliciae regis), se volvió a casar con Elias de Maine. Si este es el caso, es probable que sea hija de Guillermo IX de Aquitania y sobrina de la primera esposa de Alfonso. Beatriz no tuvo hijos con Alfonso.
Otra mujer fue reportada por fuentes posteriores como amante de Alfonso. El historiador Abu Bakr Ibn al Sayraff, escribiendo antes de 1161, declaró que Alfonso abandonó el cristianismo por el zoroastrismo y tuvo relaciones carnales con su hermana Urraca, pero luego se arrepintió y fue absuelto, haciendo peregrinaciones a lugares sagrados como penitencia. Esto ha sido seguido por algunos historiadores posteriores, pero otros lo descartan como propaganda o malentendido.
El sucesor designado de Alfonso, su hijo Sancho, fue asesinado después de ser derrotado en la batalla de Uclés en 1108, haciendo a la hija legítima mayor de Alfonso, la viuda Urraca como su heredera. Con el fin de fortalecer su posición como su sucesor, Alfonso comenzó las negociaciones para que se casara con su primo segundo, Alfonso I de Aragón y Navarra, pero murió antes de que el matrimonio pudiera tener lugar, Urraca lo logró.
[editar] Ascendencia
Antepasados de Alfonso VI de León y Castilla[ocultar]
16. Sancho II of Navarre
8. García II of Navarre
17. Urraca Fernández
4. Sancho III of Navarre
18. Ferdinand Vermúdez, Count of Cea
9. Jimena Fernández
19. Elvira Díaz
2. Ferdinand I of León and Castile
20. García Fernández, Count of Castile
10. Sancho García, Count of Castile
21. Ava of Ribagorza
5. Muniadona Mayor
22. Gómez Díaz, Count of Saldaña
11. Urraca Gómez
23. Muniadona Fernández
1. Alfonso VI of León and Castile
24. Ordoño III of León
12. Bermudo II of León
6. Alfonso V of León
26. García Fernández, Count of Castile
13. Elvira García
27. Ava of Ribagorza
3. Sancha of León
28. Gonçalo I Mendes, Count of Portugal
14. Mendo II Gonçalves, Count of Portugal
29. Ilduara (Ildonza) Peláez
7. Elvira Mendes
15. Tutadona Moniz (Portuguese)
[editar] Notas
[editar] Enlaces externos
IX Centenario del Rey Alfonso VI de León-Castilla (1109-2009)
Alfonso VI en un manuscrito:.
[editar] Referencias
Esta entrada incorpora texto de dominio público originalmente de la Enciclopedia Británica de 1911.
El Reino de León-Castilla bajo el rey Alfonso VI, 1065-1109, por Bernard F. Reilly (Princeton University Press, 1988): texto completo en línea en LIBRO.
Portugal, A Country Study, por Louis R. Mortimer, ed. Washington, D.C.: Biblioteca del Congreso, 1993.
Precedido por
Fernando I Rey de León
(primer reinado)
1065–1072 Sucedido por
Sancho II
Precedido por
García II Rey de Galicia (y Portugal)
(primer reinado)
conjuntamente con Sancho II
1071–1072
Precedido por
Sancho II Rey de León (segundo reinado),
Castilla y Galicia
(y Portugal)
(segundo reinado)
1072–1109 Sucedido por
Urraca
Vacante
Título en poder de la última vez por
Fernando I de León Emperador de España
1077 – 1109 Sucedido por
Urraca
suo jure
Alfonso I
jure uxoris
Obtenido de "http://en.wikipedia.org/wiki/Alfonso_VI_of_Le%C3%B3n_and_Castile"
Categorías: 1040 nacimientos | 1109 muertes | Casa de Jiménez | Reyes de León | monarcas castellanos | Reyes de Galicia | | de los Reyes Católicos Romanos Españoles del siglo 11 | Españoles del siglo 12
Alfonso VI (antes de junio de 1040 - 29 de junio / 1 de julio de 1109), apodado el Bravo (El Bravo) o el Valiente, fue Rey de León desde 1065, Rey de Castilla y Rey de facto de Galicia desde 1072, y autoproclamado "Emperador de toda España". Mucho romance se ha reunido alrededor de su nombre.
Contenido [ocultar]
1 Adhesión
2 Luchador fuerte
3 Matrimonios e hijos
4 Ascendencia
5 Notas
6 Enlaces externos
7 Referencias
[editar] Accesión
Como medio de tres hijos del rey Fernando I de León y Sancha de León, Alfonso fue asignado León cuando el reino se dividió tras la muerte de su padre, mientras que Castilla fue entregada a su hermano mayor Sancho, Galicia a su hermano menor García, y las hermanas Urraca y Elvira dadas las ciudades de Zamora y Toro respectivamente. A cada uno de los hermanos también se le asignó una esfera de influencia entre los estados de Taifa. Alfonso parece haber dado el primer paso en violar esta división, en 1068 invadiendo el cliente gallego Taifa de Badajoz y extorsionando tributo. En respuesta, Sancho atacó y derrotó a Alfonso en Llantada, pero tres años más tarde, en 1071, unieron fuerzas contra García. Sancho sobrecostó el León de Alfonso para conquistar las tierras del norte de García, mientras que el propio Alfonso se encuentra emitiendo cartas en la parte sur del reino gallego. García huyó a la taifa sevillana, y los hermanos restantes se volvieron el uno contra el otro. Este conflicto culminó en la Batalla de Golpejera a principios de enero de 1072. Sancho resultó victorioso y el propio Alfonso se vio obligado a huir a su cliente Taifa de Toledo. Más tarde ese año, cuando Sancho estaba limpiando el último de la resistencia, asediando a su hermana Urraca en Zamora en octubre, fue asesinado, abriendo el camino para que Alfonso volviera a reclamar la corona de Sancho. García, inducido a regresar del exilio, fue encarcelado por Alfonso de por vida, dejando a Alfonso en control indiscutible de los territorios reunidos de su padre. En reconocimiento a esto y a su papel como el monarca cristiano preeminente en la península, en 1077 se proclamó "Emperador de toda España".
En el cantar de gesta El laico del Cid, interpreta el papel atribuido por los poetas medievales a los reyes más grandes, y al propio Carlomagno. Es alternativamente el opresor y la víctima de nobles heroicos y voluntariosos, los tipos idealizados de los patrones para quienes cantaban los jongleurs y trovadores. Es el héroe de un cantar de gesta que, como todos menos muy pocos de los primeros cantos españoles, como el cantar de Bernardo del Carpio y los Infantes de Lara, existe ahora sólo en los fragmentos incorporados en la crónica de Alfonso el Sabio o en forma de balada.
Su huida del monasterio de Sahagún (Safagún en lengua leonesa), donde su hermano Sancho se esforzó por encarcelarlo, su amistad caballeresca con su anfitrión Almamón de Toledo, caballero aunque moro, "caballero aunque moro", la lealtad apasionada de su vasallo, Pero (Pedro) Ansúrez, y su amor fraternal por su hermana Urraca de Zamora, pueden deberle algo al poeta que lo tomó como héroe.
Son la respuesta al poeta de los nobles que representaba al rey como si se hubiera sometido a prestar un juramento degradante a manos de Rodrigo Díaz de Vivar (El Cid) para negar la intervención en la muerte de su hermano en la iglesia de Santa Gadea de Burgos, y como haber perseguido entonces al valiente que le desafió.
[editar] Luchador fuerte
Cuando se hace cada concesión, Alfonso VI se destaca como un hombre fuerte que lucha como un rey cuyo interés era la ley y el orden, y que fue el líder de la nación en la reconquista. Se impresionó a sí mismo en los árabes como un enemigo muy feroz y astuto, pero como un guardián de su palabra. Una historia de origen musulmán, que probablemente no sea más histórica que el juramento de Santa Gadea, cuenta cómo se dejó engañar por Ibn Ammar, el favorito de Al Mutamid, el rey de Sevilla. Jugaban al ajedrez para una mesa extremadamente hermosa y un conjunto de hombres, pertenecientes a Ibn Ammar. Mesa y hombres debían ir al rey si ganaba. Si Ibn Ammar ganaba, debía nombrar la estaca. Este último ganó y exigió que el rey cristiano perdonara a Sevilla. Alfonso cumplió su palabra.
Cualquiera que sea la verdad que pueda haber detrás de los cuentos románticos de cristianos y musulmanes, sabemos que Alfonso representó las dos grandes influencias que entonces dieron forma al carácter y la civilización de Hispania.
Alfonso mostró un mayor grado de integración continental que sus predecesores. Las prácticas matrimoniales de la realeza ibérica habían sido en gran parte endogámicas, limitando previamente la elección de parejas a la península y Gascuña, pero Alfonso se casó con esposas francesas e italianas, mientras casaba hijas con príncipes franceses y un rey italiano. Su segundo matrimonio fue arreglado, en parte, a través de la influencia de la Orden Cluniacense francesa, y se dice que Alfonso los introdujo en Hispania, los estableció en Sahagún y eligió a un cluniacense francés, Bernardo, como el primer arzobispo de Toledo después de su conquista en 1085. También acercó su reino al papado, un movimiento que llevó a los cruzados franceses para ayudarlo en la reconquista, y fue la decisión de Alfonso la que estableció el ritual romano en lugar del antiguo misal de San Isidoro, el rito mozárabe.
Por otro lado, estaba muy abierto a la influencia árabe. Protegió a los musulmanes entre sus súbditos y acuñó monedas con inscripciones en letras árabes. También admitió en su corte y en su cama a la princesa musulmana refugiada Zaida de Sevilla.
Alfonso fue derrotado el 23 de octubre de 1086, en la batalla de Sagrajas, a manos de Yusuf ibn Tashfin, y Abbad III al-Mu'tamid, y fue gravemente herido en la pierna.
[editar] Matrimonios e hijos
Alfonso se casó al menos cinco veces y tuvo dos amantes y una prometida:
En 1067, se dice que dos hermanos de Iberia compitieron por la mano de Agatha, una de las hijas de Guillermo I de Inglaterra y Matilde de Flandes y anteriormente prometida de Harold Godwinson. Alfonso tuvo éxito, y fue prometido a Agatha. Monja en ese momento, se dice que Agatha oró por la muerte en lugar de ser obligada a casarse con Alfonso, y murió antes de que el matrimonio pudiera tener lugar.
Epitafio de Jimena Muñoz, amante de Alfonso y progenitora de la primera línea real portuguesaEn 1069, Alfonso se casó con Inés de Aquitania, hija de Guillermo VIII de Aquitania y su segunda esposa Mateoda. La última vez que aparecen juntos es mayo de 1077, y luego Alfonso aparece solo. Esto sugiere que había muerto, aunque Orderic Vitalis informa que en 1109 la "reliquia" de Alfonso, Inés, se volvió a casar con Elías I de Maine, lo que llevó a algunos a especular que Alfonso e Inés se habían divorciado debido a la consanguinidad. Parece más probable que Orderic diera el nombre equivocado a la viuda de Alfonso, Beatriz. Inés y Alfonso no tuvieron hijos.
Al parecer entre su primer y segundo matrimonio formó un enlace con Jimena Muñoz, una concubina "nobilissima" "derivada de la realeza". Ella parece haber sido dejada de lado, se le dieron tierras en Ulver, en el momento del nuevo matrimonio de Alfonso. Con ella Alfonso tuvo dos hijas ilegítimas, Elvira y Teresa.
Su segunda esposa, con quien se casó en mayo de 1080, fue Constanza de Borgoña, hija de Roberto I, duque de Borgoña. Este matrimonio inicialmente enfrentó la oposición papal, aparentemente debido a su parentesco con Inés. Su mandato como reina consorte trajo importantes influencias cluniacenses al reino. Murió en septiembre u octubre de 1093, madre de la hija legítima mayor de Alfonso, Urraca, y de otros cinco hijos que murieron en la infancia.
Antes o poco después de la muerte de Constanza, Alfonso formó un enlace con una segunda amante, Zaida de Sevilla, según fuentes musulmanas ibéricas, nuera de Al Mutamid, el rey musulmán de Sevilla. Huyó de la caída de Sevilla hacia el reino de Alfonso en 1091, y pronto se convirtió en su amante, teniendo con él al único hijo de Alfonso, Sancho, quien, aunque ilegítimo, aparentemente no nació de una relación adúltera, y por lo tanto nació después de la muerte de Constanza. Sería nombrado heredero de su padre. Varias fuentes modernas han sugerido que Zaida, bautizada bajo el nombre de Isabel, es idéntica a la posterior esposa de Alfonso, la reina Isabel (o que fue una segunda reina llamada Isabel con quien se casó sucesivamente con la primera). Zaida/Isabel murió en el parto, pero se desconoce la fecha, y no está claro si el niño que estaba dando a luz era Sancho, un hijo ilegítimo adicional, por lo demás desconocido, o la hija legítima Elvira (si Zaida era idéntica a la reina Isabel).
En abril de 1095, Alfonso se casó con Bertha. Los cronistas informan que era de Toscana, Lombardía o, alternativamente, dicen que era francesa. Se han presentado varias teorías sobre su origen. Basándose en consideraciones políticas, las propuestas la hacen hija de Guillermo I, conde de Borgoña o de Amadeo II de Saboya. No tuvo hijos y murió a finales de 1099 (Alfonso aparece por primera vez sin ella a mediados de enero de 1100).
A los pocos meses, en mayo de 1100, Alfonso se volvió a casar, con Isabel, teniendo con sus dos hijas, Sancha, (esposa de Rodrigo González de Lara), y Elvira, (que se casó con Roger II de Sicilia). Una inscripción de tumba no contemporánea dice que era hija de un "rey Luis de Francia", pero esto es cronológicamente imposible. Se ha especulado que era de origen borgoñón, pero otros concluyen que Alfonso se casó con su antigua amante, Zaida, que había sido bautizada como Isabel. (En un giro novedoso, Reilly sugirió que hubo dos reinas sucesivas llamadas Isabel: primero la francesa (borgoñona) Isabel, madre de Sancha y Elvira, con Alfonso solo más tarde casándose con su amante Zaida (Isabel), después de la muerte o el divorcio de la primera Isabel). Alfonso volvió a enviudar a mediados de 1107.
En mayo de 1108, Alfonso se casó con su última esposa, Beatriz. Se dice que ella, como viuda de Alfonso, regresó a su hogar en Francia, pero no se sabe nada más de su origen a menos que sea la mujer orderica llamada "Agnes, hija de Guillermo, duque de Poitou", que como relicto de Alfonso, (Agnetem, filiam Guillelmi, Pictavorum ducis, relictam Hildefonsi senioris, Galliciae regis), se volvió a casar con Elias de Maine. Si este es el caso, es probable que sea hija de Guillermo IX de Aquitania y sobrina de la primera esposa de Alfonso. Beatriz no tuvo hijos con Alfonso.
Otra mujer fue reportada por fuentes posteriores como amante de Alfonso. El historiador Abu Bakr Ibn al Sayraff, escribiendo antes de 1161, declaró que Alfonso abandonó el cristianismo por el zoroastrismo y tuvo relaciones carnales con su hermana Urraca, pero luego se arrepintió y fue absuelto, haciendo peregrinaciones a lugares sagrados como penitencia. Esto ha sido seguido por algunos historiadores posteriores, pero otros lo descartan como propaganda o malentendido.
El sucesor designado de Alfonso, su hijo Sancho, fue asesinado después de ser derrotado en la batalla de Uclés en 1108, haciendo a la hija legítima mayor de Alfonso, la viuda Urraca como su heredera. Con el fin de fortalecer su posición como su sucesor, Alfonso comenzó las negociaciones para que se casara con su primo segundo, Alfonso I de Aragón y Navarra, pero murió antes de que el matrimonio pudiera tener lugar, Urraca lo logró.
[editar] Ascendencia
Antepasados de Alfonso VI de León y Castilla[ocultar]
16. Sancho II of Navarre
8. García II of Navarre
17. Urraca Fernández
4. Sancho III of Navarre
18. Ferdinand Vermúdez, Count of Cea
9. Jimena Fernández
19. Elvira Díaz
2. Ferdinand I of León and Castile
20. García Fernández, Count of Castile
10. Sancho García, Count of Castile
21. Ava of Ribagorza
5. Muniadona Mayor
22. Gómez Díaz, Count of Saldaña
11. Urraca Gómez
23. Muniadona Fernández
1. Alfonso VI of León and Castile
24. Ordoño III of León
12. Bermudo II of León
6. Alfonso V of León
26. García Fernández, Count of Castile
13. Elvira García
27. Ava of Ribagorza
3. Sancha of León
28. Gonçalo I Mendes, Count of Portugal
14. Mendo II Gonçalves, Count of Portugal
29. Ilduara (Ildonza) Peláez
7. Elvira Mendes
15. Tutadona Moniz (Portuguese)
[editar] Notas
[editar] Enlaces externos
IX Centenario del Rey Alfonso VI de León-Castilla (1109-2009)
Alfonso VI en un manuscrito:.
[editar] Referencias
Esta entrada incorpora texto de dominio público originalmente de la Enciclopedia Británica de 1911.
El Reino de León-Castilla bajo el rey Alfonso VI, 1065-1109, por Bernard F. Reilly (Princeton University Press, 1988): texto completo en línea en LIBRO.
Portugal, A Country Study, por Louis R. Mortimer, ed. Washington, D.C.: Biblioteca del Congreso, 1993.
Precedido por
Fernando I Rey de León
(primer reinado)
1065–1072 Sucedido por
Sancho II
Precedido por
García II Rey de Galicia (y Portugal)
(primer reinado)
conjuntamente con Sancho II
1071–1072
Precedido por
Sancho II Rey de León (segundo reinado),
Castilla y Galicia
(y Portugal)
(segundo reinado)
1072–1109 Sucedido por
Urraca
Vacante
Título en poder de la última vez por
Fernando I de León Emperador de España
1077 – 1109 Sucedido por
Urraca
suo jure
Alfonso I
jure uxoris
Obtenido de "http://en.wikipedia.org/wiki/Alfonso_VI_of_Le%C3%B3n_and_Castile"
Categorías: 1040 nacimientos | 1109 muertes | Casa de Jiménez | Reyes de León | | de los Reyes Católicos Romanos Españoles del siglo 11 | Españoles del siglo 12
Alfonso I (de Castilla), llamado El Valiente (1030-1109), Rey de Castilla (1072-1109), y también Rey de León como Alfonso VI (1065-1109). Su padre, el rey Fernando I de Castilla y León, murió en 1065 y dejó su reino, dividido en tres partes, a sus tres hijos. Alfonso recibió sólo León, pero sucedió a casi todos los dominios de su padre como resultado de una guerra con sus hermanos, y también añadió Toledo y Nueva Castilla a sus posesiones. En 1086 los abbádidas de Sevilla, con ayuda almorávide, lo derrotaron en Zalaca y detuvieron la reconquista gradual de España por los gobernantes cristianos. Alfonso recuperó parte de su poder, pero en 1108, un año antes de su muerte, los almorávides lo derrotaron de nuevo y mataron a su único hijo.
Alfonso VI (antes de junio de 1040 - 1 de julio de 1109), apodado el Valiente, fue rey de León desde 1065 hasta 1109 y rey de Castilla desde 1072 después de la muerte de su hermano. Como fue el primer Alfonso en ser rey de Castilla, a veces se le conoce como Alfonso I de Castilla. En 1077 se proclamó "Emperador de toda Hispania". Mucho romance se ha reunido alrededor de su nombre.
Alfonso VI. Una pintura del siglo 12 en la Catedral de Santiago de Compostela.
Alfonso VI. Una pintura del siglo 12 en la Catedral de Santiago de Compostela.
Como segundo y favorito hijo del rey Fernando I de Castilla y la princesa Sancha de León, Alfonso fue asignado León, mientras que Castilla fue entregada a su hermano mayor Sancho, y Galicia a su hermano menor García. Sancho fue asesinado en 1072. García fue destronado y encarcelado de por vida al año siguiente.
En el cantar de gesta El laico del Cid, interpreta el papel atribuido por los poetas medievales a los reyes más grandes, y al propio Carlomagno. Es alternativamente el opresor y la víctima de nobles heroicos y voluntariosos, los tipos idealizados de los patrones para quienes cantaban los jongleurs y trovadores. Es el héroe de un cantar de gesta que, como todos menos muy pocos de los primeros cantos españoles, como el cantar de Bernardo del Carpio y los Infantes de Lara, existe ahora sólo en los fragmentos incorporados en la crónica de Alfonso el Sabio o en forma de balada.
Su huida del monasterio de Sahagún, donde su hermano Sancho se esforzó por encarcelarlo, su amistad caballeresca con su anfitrión Almamón de Toledo, caballero aunque moro, "caballero aunque moro", la lealtad apasionada de su vasallo, Pero (Pedro) Ansúrez, y su amor fraternal por su hermana Urraca de Zamora, pueden deberle algo al poeta que lo tomó como héroe.
Son la respuesta al poeta de los nobles que representaba al rey como si se hubiera sometido a prestar un juramento degradante a manos de Rodrigo Díaz de Vivar (El Cid) para negar la intervención en la muerte de su hermano en la iglesia de Santa Gadea de Burgos, y como haber perseguido entonces al valiente que le desafió.
Cuando se hace cada concesión, Alfonso VI se destaca como un hombre fuerte que lucha como un rey cuyo interés era la ley y el orden, y que fue el líder de la nación en la reconquista. Se impresionó a sí mismo en los árabes como un enemigo muy feroz y astuto, pero como un guardián de su palabra. Una historia de origen musulmán, que probablemente no sea más histórica que el juramento de Santa Gadea, cuenta cómo se dejó engañar por Ibn Ammar, el favorito de Al Mutamid, el rey de Sevilla. Jugaban al ajedrez para una mesa extremadamente hermosa y un conjunto de hombres, pertenecientes a Ibn Ammar. Mesa y hombres debían ir al rey si ganaba. Si Ibn Ammar ganaba, debía nombrar la estaca. Este último ganó y exigió que el rey cristiano perdonara a Sevilla. Alfonso cumplió su palabra.
Estatua de Alfonso VI en los Jardines de Sabatini de Madrid (F. Corral, 1753).
Estatua de Alfonso VI en los Jardines de Sabatini de Madrid (F. Corral, 1753).
Cualquiera que sea la verdad que pueda estar detrás de los cuentos románticos de cristianos y musulmanes, sabemos que Alfonso representó, de manera notable, las dos grandes influencias que entonces daban forma al carácter y la civilización de España.
A instancias, se dice, de su esposa Constanza, trajo la Orden del Císter a España, los estableció en Sahagún, eligió a un cisterciense francés, Bernardo, como el primer arzobispo de Toledo después de la reconquista el 25 de mayo de 1085. Casó a sus hijas, Urraca, Teresa y Elvira con príncipes franceses, y en todos los sentidos promovió la propagación de la influencia francesa, entonces la mayor fuerza civilizadora de Europa. También acercó a España al Papado. Fue la decisión de Alfonso la que estableció el ritual romano en lugar del antiguo misal de San Isidoro, el rito mozárabe.
Por otro lado, estaba muy abierto a la influencia árabe. Protegió a los musulmanes entre sus súbditos y acuñó monedas con inscripciones en letras árabes. También admitió en su corte y en su cama a la princesa musulmana refugiada Zaida de Sevilla.
Alfonso fue derrotado el 23 de octubre de 1086, en la batalla de Zallaqa, a manos de Yusuf ibn Tashfin, y Abbad III al-Mu'tamid, y fue gravemente herido en la pierna.
[editar] Matrimonios e hijos
Alfonso se casó al menos cinco veces y tuvo dos amantes y una prometida:
* His first wife was Agnes of Aquitaine, daughter of William VIII of Aquitaine and his second wife Matoeda. They married in 1069 and scholarly opinion is divided whether she died or they divorced due to consanguinity, in the late 1070s. They had no children.
* Prior to his next marriage, (and perhaps prior to his first) he was betrothed to Agatha, one of the daughters of William I of England and Matilda of Flanders. Agatha died before the marriage could take place, reportedly out of mortification at the prospect of her marriage to Alfonso.
* His second wife, who he married in 1081, was Constance of Burgundy, the mother of Alfonso's eldest legitimate daughter Urraca.
* In 1093, he married Bertha, hypothesized to have been daughter of William I, Count Palatine of Burgundy. She had no children.
* Following her death, Alfonso married an Isabel, by whom he had two daughters, Elvira, (who married Roger II of Sicily) and, Sancha, (wife of Rodrigo González de Lara).
* His final wife was Beatrice. Some sources state she was related to Hisham III, the last Emir of Cordoba. Alternatively, it has been suggested she was niece of first wife Agnes, and daughter of William IX of Aquitaine. She had no children by Alfonso.
* He also had two known mistresses.
o By Jimena Muñoz, of a "most noble family", he had two illegitimate daughters, another Elvira (actually his eldest child) and Teresa.
o A second mistress was Zaida, said by Spanish Muslim sources to be daughter-in-law of Al Mutamid, the Muslim King of Seville. She was mother of Alfonso's only son, Sancho, who, though illegitimate, would be named his father's heir. Several modern sources have suggested that Zaida, baptised under the name of Isabel, is identical with Alfonso's wife, queen Isabel (or that she was a second queen Isabel who he married in succession to the first), but Bishop Pelayo of Oviedo, writing within a few years of Alfonso's death, gives an account of Alfonso's family naming a sole queen Isabel and mistress Zaida/Isabel without any indication that they were the same woman. Zaida/Isabel died in childbirth, but the date is unknown, and it is unclear whether the child being delivered was Sancho, Sancha (if she was identical to Queen Isabel), or an additional child, otherwise unknown.
El sucesor designado de Alfonso, su hijo Sancho, fue asesinado en la batalla de Ucles en 1108, haciendo de la hija viuda de Alfonso, Urraca, su heredera. Con el fin de fortalecer su posición como su sucesor, Alfonso inició negociaciones para que se casara con su primo segundo, Alfonso I de Aragón y Navarra, pero murió antes de que el matrimonio pudiera tener lugar.
[Alfonso VI sobre un manuscrito:[1]
Alfonso VI de Castilla
De Wikipedia, la enciclopedia libre
Alfonso VI (antes de junio de 1040 - 29 de junio / 1 de julio de 1109), apodado el Valiente, fue rey de León de 1065 a 1109 y rey de Castilla desde 1072 tras la muerte de su hermano. Como fue el primer Alfonso en ser rey de Castilla, a veces se le conoce como Alfonso I de Castilla. En 1077 se proclamó "Emperador de toda Hispania". Mucho romance se ha reunido alrededor de su nombre.
Como segundo y favorito hijo del rey Fernando I de Castilla y la princesa Sancha de León, Alfonso fue asignado León, mientras que Castilla fue entregada a su hermano mayor Sancho, y Galicia a su hermano menor García. Sancho fue asesinado en 1072. García fue destronado y encarcelado de por vida al año siguiente.
En el cantar de gesta El laico del Cid, interpreta el papel atribuido por los poetas medievales a los reyes más grandes, y al propio Carlomagno. Es alternativamente el opresor y la víctima de nobles heroicos y voluntariosos, los tipos idealizados de los patrones para quienes cantaban los jongleurs y trovadores. Es el héroe de un cantar de gesta que, como todos menos muy pocos de los primeros cantos españoles, como el cantar de Bernardo del Carpio y los Infantes de Lara, existe ahora sólo en los fragmentos incorporados en la crónica de Alfonso el Sabio o en forma de balada.
Su huida del monasterio de Sahagún, donde su hermano Sancho se esforzó por encarcelarlo, su amistad caballeresca con su anfitrión Almamón de Toledo, caballero aunque moro, "caballero aunque moro", la lealtad apasionada de su vasallo, Pero (Pedro) Ansúrez, y su amor fraternal por su hermana Urraca de Zamora, pueden deberle algo al poeta que lo tomó como héroe.
Son la respuesta al poeta de los nobles que representaba al rey como si se hubiera sometido a prestar un juramento degradante a manos de Rodrigo Díaz de Vivar (El Cid) para negar la intervención en la muerte de su hermano en la iglesia de Santa Gadea de Burgos, y como haber perseguido entonces al valiente que le desafió.
Cuando se hace cada concesión, Alfonso VI se destaca como un hombre fuerte que lucha como un rey cuyo interés era la ley y el orden, y que fue el líder de la nación en la reconquista. Se impresionó a sí mismo en los árabes como un enemigo muy feroz y astuto, pero como un guardián de su palabra. Una historia de origen musulmán, que probablemente no sea más histórica que el juramento de Santa Gadea, cuenta cómo se dejó engañar por Ibn Ammar, el favorito de Al Mutamid, el rey de Sevilla. Jugaban al ajedrez para una mesa extremadamente hermosa y un conjunto de hombres, pertenecientes a Ibn Ammar. Mesa y hombres debían ir al rey si ganaba. Si Ibn Ammar ganaba, debía nombrar la estaca. Este último ganó y exigió que el rey cristiano perdonara a Sevilla. Alfonso cumplió su palabra.
Cualquiera que sea la verdad que pueda estar detrás de los cuentos románticos de cristianos y musulmanes, sabemos que Alfonso representó, de manera notable, las dos grandes influencias que entonces daban forma al carácter y la civilización de Hispania.
A instancias, se dice, de su esposa Constanza, trajo la Orden del Císter a Hispania, los estableció en Sahagún, eligió a un cisterciense francés, Bernardo, como primer arzobispo de Toledo, después de la reconquista el 25 de mayo de 1085. Casó a sus hijas, Urraca, Teresa y Elvira con príncipes franceses, y en todos los sentidos promovió la propagación de la influencia francesa, entonces la mayor fuerza civilizadora de Europa. También acercó a Hispania al Papado. Fue la decisión de Alfonso la que estableció el ritual romano en lugar del antiguo misal de San Isidoro, el rito mozárabe.
Por otro lado, estaba muy abierto a la influencia árabe. Protegió a los musulmanes entre sus súbditos y acuñó monedas con inscripciones en letras árabes. También admitió en su corte y en su cama a la princesa musulmana refugiada Zaida de Sevilla.
Alfonso fue derrotado el 23 de octubre de 1086, en la batalla de Sagrajas, a manos de Yusuf ibn Tashfin, y Abbad III al-Mu'tamid, y fue gravemente herido en la pierna.
Matrimonios e hijos
Alfonso se casó al menos cinco veces y tuvo dos amantes y una prometida:
Su primera esposa fue Inés de Aquitania, hija de Guillermo VIII de Aquitania y su segunda esposa Mateoda. Se casaron en 1069 y la opinión académica está dividida si ella murió o se divorciaron debido a la consanguinidad, a fines de la década de 1070. No tuvieron hijos.
Antes de su segundo matrimonio, se dice que estuvo comprometido con Ágata, una de las hijas de Guillermo I de Inglaterra y Matilde de Flandes. Agatha murió antes de que el matrimonio pudiera tener lugar, según los informes, por mortificación ante la perspectiva del matrimonio con Alfonso (1079).
Su segunda esposa, con la que se casó en 1081, fue Constanza de Borgoña, la madre de la hija legítima mayor de Alfonso, Urraca.
En 1093, se casó con Bertha, hija de Guillermo I, conde de Borgoña. No tuvo hijos y murió en 1097.
Tras su muerte, Alfonso se casó con una Isabel, con la que tuvo dos hijas, Elvira, (que se casó con Roger II de Sicilia) y, Sancha, (esposa de Rodrigo González de Lara). Fuentes posteriores dicen que era hija de un rey Luis de Francia, pero esto es cronológicamente imposible. Reilly especuló que era de origen borgoñón, sin embargo, otros la hacen idéntica a la amante Zaida.
Su última esposa fue Beatriz. Algunas fuentes afirman que estaba emparentada con Hisham III, el último emir de Córdoba. Alternativamente, se ha sugerido que era sobrina de su primera esposa Inés, e hija de Guillermo IX de Aquitania. No tuvo hijos con Alfonso.
También tuvo dos amantes conocidas.
Por Jimena Muñoz, de una "familia muy noble", tuvo dos hijas ilegítimas, otra Elvira (en realidad su hija mayor) y Teresa.
Una segunda amante fue Zaida de Sevilla, según fuentes musulmanas hispanias como nuera de Al Mutamid, el rey musulmán de Sevilla. Era madre del único hijo de Alfonso, Sancho, quien, aunque ilegítimo, sería nombrado heredero de su padre. Varias fuentes modernas han sugerido que Zaida, bautizada bajo el nombre de Isabel, es idéntica a la esposa de Alfonso, la reina Isabel (o que ella era una segunda reina Isabel con quien se casó sucesivamente con la primera). Zaida / Isabel murió en el parto, pero la fecha es desconocida, y no está claro si el niño que estaba siendo entregado era Sancho, Sancha (si Zaida era idéntica a la reina Isabel), o un niño adicional, por lo demás desconocido.
El sucesor designado de Alfonso, su hijo Sancho, fue asesinado en la batalla de Ucles en 1108, haciendo de la hija viuda de Alfonso, Urraca, su heredera. Con el fin de fortalecer su posición como su sucesor, Alfonso inició negociaciones para que se casara con su primo segundo, Alfonso I de Aragón y Navarra, pero murió antes de que el matrimonio pudiera tener lugar.
Alfonso VI (antes de junio de 1040 - 29 de junio / 1 de julio de 1109), apodado el Valiente, fue rey de León de 1065 a 1109 y rey de Castilla desde 1072 tras la muerte de su hermano. Como fue el primer Alfonso en ser rey de Castilla, a veces se le conoce como Alfonso I de Castilla. En 1077 se proclamó "Emperador de toda Hispania". Mucho romance se ha reunido alrededor de su nombre.
Alfonso VI (antes de junio de 1040 - 29 de junio / 1 de julio de 1109), apodado el Valiente, fue rey de León de 1065 a 1109 y rey de Castilla desde 1072 tras la muerte de su hermano. Como fue el primer Alfonso en ser rey de Castilla, a veces se le conoce como Alfonso I de Castilla. En 1077 se proclamó "Emperador de toda Hispania". Mucho romance se ha reunido alrededor de su nombre.
http://en.wikipedia.org/wiki/Alfonso_VI_of_Castile
Alfonso VI de León y Castilla
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Alfonso VI
Alfonso VI. Una pintura del siglo 12 en la Catedral de Santiago de Compostela.
Emperador de toda España
Reinado 1077–1109
Coronación 1077
Predecesor Fernando I
Sucesor Urraca & Alfonso
Rey de León
Reinado 1065–1072
1072–1109
Predecesor Fernando I
Sancho II
Sucesor Sancho II
Urraca
Rey de Castilla
Reinado 1072–1109
Predecesor Sancho II
Sucesor Urraca
Rey de Galicia y Portugal
Reinado 1071-1072 (conjuntamente con Sancho)
1072–1109
Predecesor García II
Sancho II
Sucesor Sancho II
Urraca
Esposa Inés de Aquitania
Constanza de Borgoña
Bertha
Isabel
Beatrice
Jimena Muñoz (amante)
Zaida de Sevilla (amante y quizás esposa)
Emitir
Urraca
Sancho Alfónsez
Infanta Sancha
Elvira, reina de Sicilia
Elvira, condesa de Toulouse
Teresa, condesa de Portugal
Casa Casa de Jiménez
Padre Fernando I de León y Castilla
Madre Sancha de León
Nacidos antes de junio de 1040
Compostela
Murió el 29 de junio /1 de julio de 1109 (68-69 años)
Toledo
Entierro Sahagún, León, capilla de San Mancio en el real monasterio de Santos Facundo y Primitivo
Alfonso VI (antes de junio de 1040 - 29 de junio / 1 de julio de 1109), apodado el Bravo (El Bravo) o el Valiente, fue Rey de León desde 1065, Rey de Castilla y Rey de facto de Galicia desde 1072, y autoproclamado "Emperador de toda España". Mucho romance se ha reunido alrededor de su nombre.
Contenido
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* 1 Accession
* 2 Strong fighter
* 3 Marriages and children
* 4 Ancestry
* 5 Notes
o 5.1 Portrayal in Media
* 6 External links
* 7 References
[editar] Accesión
Como medio de tres hijos del rey Fernando I de León y Sancha de León, Alfonso fue asignado León cuando el reino se dividió tras la muerte de su padre, mientras que Castilla fue entregada a su hermano mayor Sancho, Galicia a su hermano menor García, y las hermanas Urraca y Elvira dadas las ciudades de Zamora y Toro respectivamente. A cada uno de los hermanos también se le asignó una esfera de influencia entre los estados de Taifa. Alfonso parece haber dado el primer paso en violar esta división, en 1068 invadiendo el cliente gallego Taifa de Badajoz y extorsionando tributo. En respuesta, Sancho atacó y derrotó a Alfonso en Llantada, pero tres años más tarde, en 1071, unieron fuerzas contra García. Sancho sobrecostó el León de Alfonso para conquistar las tierras del norte de García, mientras que el propio Alfonso se encuentra emitiendo cartas en la parte sur del reino gallego. García huyó a la taifa sevillana, y los hermanos restantes se volvieron el uno contra el otro. Este conflicto culminó en la Batalla de Golpejera a principios de enero de 1072. Sancho resultó victorioso y el propio Alfonso se vio obligado a huir a su cliente Taifa de Toledo. Más tarde ese año, cuando Sancho estaba limpiando el último de la resistencia, asediando a su hermana Urraca en Zamora en octubre, fue asesinado, abriendo el camino para que Alfonso volviera a reclamar la corona de Sancho. García, inducido a regresar del exilio, fue encarcelado por Alfonso de por vida, dejando a Alfonso en control indiscutible de los territorios reunidos de su padre. En reconocimiento a esto y a su papel como el monarca cristiano preeminente en la península, en 1077 se proclamó "Emperador de toda España".
En el cantar de gesta El laico del Cid, interpreta el papel atribuido por los poetas medievales a los reyes más grandes, y al propio Carlomagno. Es alternativamente el opresor y la víctima de nobles heroicos y voluntariosos, los tipos idealizados de los patrones para quienes cantaban los jongleurs y trovadores. Es el héroe de un cantar de gesta que, como todos menos muy pocos de los primeros cantos españoles, como el cantar de Bernardo del Carpio y los Infantes de Lara, existe ahora sólo en los fragmentos incorporados en la crónica de Alfonso el Sabio o en forma de balada.
Su huida del monasterio de Sahagún (Safagún en lengua leonesa), donde su hermano Sancho se esforzó por encarcelarlo, su amistad caballeresca con su anfitrión Almamón de Toledo, caballero aunque moro, "caballero aunque moro", la lealtad apasionada de su vasallo, Pero (Pedro) Ansúrez, y su amor fraternal por su hermana Urraca de Zamora, pueden deberle algo al poeta que lo tomó como héroe.
Son la respuesta al poeta de los nobles que representaba al rey como si se hubiera sometido a prestar un juramento degradante a manos de Rodrigo Díaz de Vivar (El Cid) para negar la intervención en la muerte de su hermano en la iglesia de Santa Gadea de Burgos, y como haber perseguido entonces al valiente que le desafió.
[editar] Luchador fuerte
Cuando se hace cada concesión, Alfonso VI se destaca como un hombre fuerte que lucha como un rey cuyo interés era la ley y el orden, y que fue el líder de la nación en la reconquista. Se impresionó a sí mismo en los árabes como un enemigo muy feroz y astuto, pero como un guardián de su palabra. Una historia de origen musulmán, que probablemente no sea más histórica que el juramento de Santa Gadea, cuenta cómo se dejó engañar por Ibn Ammar, el favorito de Al Mutamid, el rey de Sevilla. Jugaban al ajedrez para una mesa extremadamente hermosa y un conjunto de hombres, pertenecientes a Ibn Ammar. Mesa y hombres debían ir al rey si ganaba. Si Ibn Ammar ganaba, debía nombrar la estaca. Este último ganó y exigió que el rey cristiano perdonara a Sevilla. Alfonso cumplió su palabra.
Cualquiera que sea la verdad que pueda haber detrás de los cuentos románticos de cristianos y musulmanes, sabemos que Alfonso representó las dos grandes influencias que entonces dieron forma al carácter y la civilización de Hispania.
Alfonso mostró un mayor grado de integración continental que sus predecesores. Las prácticas matrimoniales de la realeza ibérica habían sido en gran parte endogámicas, limitando previamente la elección de parejas a la península y Gascuña, pero Alfonso se casó con esposas francesas e italianas, mientras casaba hijas con príncipes franceses y un rey italiano. Su segundo matrimonio fue arreglado, en parte, a través de la influencia de la Orden Cluniacense francesa, y se dice que Alfonso los introdujo en Hispania, los estableció en Sahagún y eligió a un cluniacense francés, Bernardo, como el primer arzobispo de Toledo después de su conquista en 1085. También acercó su reino al papado, un movimiento que llevó a los cruzados franceses para ayudarlo en la reconquista, y fue la decisión de Alfonso la que estableció el ritual romano en lugar del antiguo misal de San Isidoro, el rito mozárabe.
Por otro lado, estaba muy abierto a la influencia árabe. Protegió a los musulmanes entre sus súbditos y acuñó monedas con inscripciones en letras árabes. También admitió en su corte y en su cama a la princesa musulmana refugiada Zaida de Sevilla.
Alfonso fue derrotado el 23 de octubre de 1086, en la batalla de Sagrajas, a manos de Yusuf ibn Tashfin, y Abbad III al-Mu'tamid, y fue gravemente herido en la pierna.
[editar] Matrimonios e hijos
Alfonso se casó al menos cinco veces y tuvo dos amantes y una prometida:
* In 1067, two brothers from Iberia are said to have competed for the hand of Agatha, one of the daughters of William I of England and Matilda of Flanders and formerly fiancee of Harold Godwinson. Alfonso proved successful, and was betrothed to Agatha. A nun at the time, Agatha is said to have prayed for death rather than being forced to marry Alphonso, and she died before the marriage could take place.
Epitafio de Jimena Muñoz, amante de Alfonso y progenitora de la primera línea real portuguesa
* In 1069, Alfonso married Agnes of Aquitaine, daughter of William VIII of Aquitaine and his second wife Mateoda. They last appear together in May 1077, and then Alfonso appears alone. This suggests that she had died, although Orderic Vitalis reports that in 1109 Alfonso's 'relict' Agnes remarried to Elias I of Maine, leading some to speculate that Alfonso and Agnes had divorced due to consanguinity. It seems more likely that Orderic gave the wrong name to Alfonso's widow, Beatrice. Agnes and Alfonso had no children.
* Apparently between his first and second marriages he formed a liaison with Jimena Muñoz, a "most noble" (nobilissima) concubine "derived from royalty" (real generacion). She appears to have been put aside, given land in Ulver, at the time of Alfonso's remarriage. By her Alfonso had two illegitimate daughters, Elvira and Teresa.
* His second wife, who he married by May 1080, was Constance of Burgundy, daughter of Robert I, Duke of Burgundy. This marriage initially faced papal opposition, apparently due to her kinship with Agnes. Her tenure as queen consort brought significant Cluniac influences into the kingdom. She died in September or October, 1093, the mother of Alfonso's eldest legitimate daughter Urraca, and of five other children who died in infancy.
* Either before or shortly after Constance's death, Alfonso formed a liaison with a second mistress, Zaida of Seville, said by Iberian Muslim sources to be daughter-in-law of Al Mutamid, the Muslim King of Seville. She fled the fall of Seville for Alfonso's kingdom in 1091, and soon became his lover, having by him Alfonso's only son, Sancho, who, though illegitimate, was apparently not born of an adulterous relationship, and hence born after the death of Constance. He would be named his father's heir. Several modern sources have suggested that Zaida, baptised under the name of Isabel, is identical with Alfonso's later wife, Queen Isabel (or that she was a second queen named Isabel whom he married in succession to the first). Zaida/Isabel died in childbirth, but the date is unknown, and it is unclear whether the child being delivered was Sancho, an additional illegitimate child, otherwise unknown, or legitimate daughter Elvira (if Zaida was identical to Queen Isabel).
* By April 1095, Alfonso married Bertha. Chroniclers report her as being from Tuscany, Lombardy, or alternatively, say she was French. Several theories have been put forward regarding her origin. Based on political considerations, proposals make her daughter of William I, Count of Burgundy or of Amadeus II of Savoy. She had no children and died in late 1099 (Alfonso first appears without her in mid-January 1100).
* Within months, by May 1100, Alfonso again remarried, to Isabel, having by her two daughters, Sancha, (wife of Rodrigo González de Lara), and Elvira, (who married Roger II of Sicily). A non-contemporary tomb inscription says she was daughter of a "king Louis of France", but this is chronologically impossible. It has been speculated that she was of Burgundian origin, but others conclude that Alfonso married his former mistress, Zaida, who had been baptized as Isabel. (In a novel twist, Reilly suggested that there were two successive queens named Isabel: first the French (Burgundian) Isabel, mother of Sancha and Elvira, with Alfonso only later marrying his mistress Zaida (Isabel), after the death of or divorce from the first Isabel.) Alfonso was again widowed in mid-1107.
* By May 1108, Alfonso married his last wife, Beatrice. She, as widow of Alfonso, is said to have returned home to France, but nothing else is known of her origin unless she is the woman Orderic named as "Agnes, daughter of William, Duke of Poitou", who as relict of Alfonso, (Agnetem, filiam Guillelmi, Pictavorum ducis, relictam Hildefonsi senioris, Galliciae regis), remarried to Elias of Maine. If this is the case, she is likely daughter of William IX of Aquitaine and niece of Alfonso's first wife. Beatrice had no children by Alfonso.
One other woman was reported by later sources to have been Alfonso's lover. The historian Abu Bakr Ibn al Sayraff, writing before 1161, stated that Alfonso abandoned Christianity for Zoroastrianism and had carnal relations with his sister Urraca, but then repented and was absolved, making pilgrimages to holy sites as penance. This has been followed by some later historians but others dismiss it as propaganda or misunderstanding.
El sucesor designado de Alfonso, su hijo Sancho, fue asesinado después de ser derrotado en la batalla de Uclés en 1108, haciendo a la hija legítima mayor de Alfonso, la viuda Urraca como su heredera. Con el fin de fortalecer su posición como su sucesor, Alfonso comenzó las negociaciones para que se casara con su primo segundo, Alfonso I de Aragón y Navarra, pero murió antes de que el matrimonio pudiera tener lugar, Urraca lo logró.
Notas
[editar] Representación en los medios de comunicación
* Alfonso appears heavily in the PC game Age of Empires 2: The Conquers during the Spanish El Cid campaign. During the story line, Alfonso is portrayed as being jealous of El Cid's combat ability and popularity with the people, it is also suggested that Alfonso sends El Cid into battles hoping for him to be killed.
[editar] Enlaces externos
* IX Centenary of Leon-Castilla's King Alfonso VI (1109-2009)
* Alfonso VI on a Manuscript:.
[editar] Referencias
* This entry incorporates public domain text originally from the 1911 Encyclopedia Britannica.
* The Kingdom of León-Castilla under King Alfonso VI, 1065-1109, by Bernard F. Reilly (Princeton University Press, 1988): full text online at LIBRO.
* Portugal, A Country Study, by Louis R. Mortimer, ed. Washington, D.C.: Library of Congress, 1993.
Precedido por
Fernando I Rey de León
(primer reinado)
1065–1072 Sucedido por
Sancho II
Precedido por
García II Rey de Galicia (y Portugal)
(primer reinado)
conjuntamente con Sancho II
1071–1072
Precedido por
Sancho II Rey de León (segundo reinado),
Castilla y Galicia
(y Portugal)
(segundo reinado)
1072–1109 Sucedido por
Urraca
Vacante
Título en poder de la última vez por
Fernando I de León Emperador de España
1077 – 1109 Sucedido por
Urraca
suo jure
Alfonso I
jure uxoris
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Alfonso VI (antes de junio de 1040 - 29 de junio /1 de julio de 1109), apodado el Bravo (El Bravo) o el Valiente, fue Rey de León desde 1065 hasta 1109, Rey de Galicia desde 1073 y Rey de Castilla desde 1072 y tras la muerte de su hermano Sancho II en 1077 fue el autoproclamado "Emperador de toda España". Mucho romance se ha reunido alrededor de su nombre.
Matrimonios e hijos
Alfonso se casó al menos cinco veces y tuvo dos amantes y una prometida:
* In 1067, two brothers from Iberia are said to have competed for the hand of Agatha, one of the daughters of William I of England and Matilda of Flanders and formerly fiancee of Harold Godwinson. Alfonso proved successful, and was betrothed to Agatha. A nun at the time, Agatha is said to have prayed for death rather than being forced to marry Alphonso, and she died before the marriage could take place.
* In 1069, Alfonso married Agnes of Aquitaine, daughter of William VIII of Aquitaine and his second wife Mateoda. They last appear together in May 1077, and then Alfonso appears alone. This suggests that she had died, although Orderic Vitalis reports that in 1109 Alfonso's 'relict' Agnes remarried to Elias I of Maine, leading some to speculate that Alfonso and Agnes had divorced due to consanguinity. It seems more likely that Orderic gave the wrong name to Alfonso's widow, Beatrice. Agnes and Alfonso had no children.
* Apparently between his first and second marriages he formed a liaison with Jimena Muñoz, a "most noble" (nobilissima) concubine "derived from royalty" (real generacion). She appears to have been put aside, given land in Ulver, at the time of Alfonso's remarriage. By her Alfonso had two illegitimate daughters, Elvira and Teresa.
* His second wife, who he married by May 1080, was Constance of Burgundy, daughter of Robert I, Duke of Burgundy. This marriage initially faced papal opposition, apparently due to her kinship with Agnes. Her reign as queen brought significant Cluniac influences into the kingdom. She died in September or October, 1093, the mother of Alfonso's eldest legitimate daughter Urraca, and of five other children who died in infancy.
* Either late in Constance's reign or shortly after her death, Alfonso formed a liaison with a second mistress, Zaida of Seville, said by Iberian Muslim sources to be daughter-in-law of Al Mutamid, the Muslim King of Seville. She fled the fall of Seville for Alfonso's kingdom in 1091, and soon became his lover, having by him Alfonso's only son, Sancho, who, though illegitimate was apparently not born of an adulterous relationship, and hence born after the death of Constance. He would be named his father's heir. Several modern sources have suggested that Zaida, baptised under the name of Isabel, is identical with Alfonso's later wife, queen Isabel (or that she was a second queen Isabel who he married in succession to the first). Zaida/Isabel died in childbirth, but the date is unknown, and it is unclear whether the child being delivered was Sancho, an additional illegitimate child, otherwise unknown, or legitimate daughter Elvira (if Zaida was identical to Queen Isabel).
* By April 1095, Alfonso married Bertha. Chroniclers report her as being from Tuscany, Lombardy, or alternatively, say she was French. Several theories have been put forward regarding her origin. Based on political considerations, proposals make her daughter of William I, Count of Burgundy or of Amadeus II of Savoy. She had no children and died in late 1099 (Alfonso first appears without her in mid-January 1100).
* Within months, by May 1100, Alfonso again remarried, to Isabel, having by her two daughters, Sancha, (wife of Rodrigo González de Lara), and Elvira, (who married Roger II of Sicily). A non-contemporary tomb inscription says she was daughter of a "king Louis of France", but this is chronologically impossible. It has been speculated that she was of Burgundian origin, but others conclude that Alfonso married his former mistress, Zaida, who had been baptized as Isabel. (In a novel twist, Reilly suggested that there were two successive queens named Isabel: first the French (Burgundian) Isabel, mother of Sancha and Elvira, with Alfonso only later marrying his mistress Zaida (Isabel), after the death of or divorce from the first Isabel.) Alfonso was again widowed in mid-1107.
* By May 1108, Alfonso married his last wife, Beatrice. She, as widow of Alfonso, is said to have returned home to France, but nothing else is known of her origin unless she is the woman Orderic named as "Agnes, daughter of William, Duke of Poitou", who as relict of Alfonso, (Agnetem, filiam Guillelmi, Pictavorum ducis, relictam Hildefonsi senioris, Galliciae regis), remarried to Elias of Maine. If this is the case, she is likely daughter of William IX of Aquitaine and niece of Alfonso's first wife. Beatrice had no children by Alfonso.
El sucesor designado de Alfonso, su hijo Sancho, fue asesinado después de ser derrotado en la batalla de Uclés en 1108, haciendo a la hija legítima mayor de Alfonso, la viuda Urraca como su heredera. Con el fin de fortalecer su posición como su sucesor, Alfonso comenzó las negociaciones para que se casara con su primo segundo, Alfonso I de Aragón y Navarra, pero murió antes de que el matrimonio pudiera tener lugar, Urraca lo logró.
Referencias
* This entry incorporates public domain text originally from the 1911 Encyclopedia Britannica.
* The Kingdom of León-Castilla under King Alfonso VI, 1065-1109, by Bernard F. Reilly (Princeton University Press, 1988): full text online at LIBRO.
* Portugal, A Country Study, by Louis R. Mortimer, ed. Washington, D.C.: Library of Congress, 1993.
http://en.wikipedia.org/wiki/Alfonso_VI_of_Le%C3%B3n
Nacido en la primavera; así nació antes de junio. Alias Alfonso 1º, Rey de Castilla. La 1ª esposa de Alfonso fue Inés. Su 3ª esposa fue Berta y su 4ª esposa fue Zayda.
Alfonso VI (antes de junio de 1040 - 29 de junio /1 de julio de 1109), apodado el Bravo (El Bravo) o el Valiente, fue Rey de León desde 1065 hasta 1109, Rey de Galicia desde 1073 y Rey de Castilla desde 1072 y tras la muerte de su hermano Sancho II en 1077 fue el autoproclamado "Emperador de toda España".
Como segundo y favorito hijo del rey Fernando I de León y la princesa Sancha de León
Alfonso se casó al menos cinco veces y tuvo dos amantes y una prometida:
* In 1067, two brothers from Iberia are said to have competed for the hand of Agatha, one of the daughters of William I of England and Matilda of Flanders and formerly fiancee of Harold Godwinson. Alfonso proved successful, and was betrothed to Agatha. A nun at the time, Agatha is said to have prayed for death rather than being forced to marry Alphonso, and she died before the marriage could take place.
* In 1069, Alfonso married Agnes of Aquitaine, daughter of William VIII of Aquitaine and his second wife Mateoda. They last appear together in May 1077, and then Alfonso appears alone. This suggests that she had died, although Orderic Vitalis reports that in 1109 Alfonso's 'relict' Agnes remarried to Elias I of Maine, leading some to speculate that Alfonso and Agnes had divorced due to consanguinity. It seems more likely that Orderic gave the wrong name to Alfonso's widow, Beatrice. Agnes and Alfonso had no children.
* Apparently between his first and second marriages he formed a liaison with Jimena Muñoz, a "most noble" (nobilissima) concubine "derived from royalty" (real generacion). She appears to have been put aside, given land in Ulver, at the time of Alfonso's remarriage. By her Alfonso had two illegitimate daughters, Elvira and Teresa.
* His second wife, who he married by May 1080, was Constance of Burgundy, daughter of Robert I, Duke of Burgundy. This marriage initially faced papal opposition, apparently due to her kinship with Agnes. Her reign as queen brought significant Cluniac influences into the kingdom. She died in September or October, 1093, the mother of Alfonso's eldest legitimate daughter Urraca, and of five other children who died in infancy.
* Either late in Constance's reign or shortly after her death, Alfonso formed a liaison with a second mistress, Zaida of Seville, said by Iberian Muslim sources to be daughter-in-law of Al Mutamid, the Muslim King of Seville. She fled the fall of Seville for Alfonso's kingdom in 1091, and soon became his lover, having by him Alfonso's only son, Sancho, who, though illegitimate was apparently not born of an adulterous relationship, and hence born after the death of Constance. He would be named his father's heir. Several modern sources have suggested that Zaida, baptised under the name of Isabel, is identical with Alfonso's later wife, queen Isabel (or that she was a second queen Isabel who he married in succession to the first). Zaida/Isabel died in childbirth, but the date is unknown, and it is unclear whether the child being delivered was Sancho, an additional illegitimate child, otherwise unknown, or legitimate daughter Elvira (if Zaida was identical to Queen Isabel).
* By April 1095, Alfonso married Bertha. Chroniclers report her as being from Tuscany, Lombardy, or alternatively, say she was French. Several theories have been put forward regarding her origin. Based on political considerations, proposals make her daughter of William I, Count of Burgundy or of Amadeus II of Savoy. She had no children and died in late 1099 (Alfonso first appears without her in mid-January 1100).
* Within months, by May 1100, Alfonso again remarried, to Isabel, having by her two daughters, Sancha, (wife of Rodrigo González de Lara), and Elvira, (who married Roger II of Sicily). A non-contemporary tomb inscription says she was daughter of a "king Louis of France", but this is chronologically impossible. It has been speculated that she was of Burgundian origin, but others conclude that Alfonso married his former mistress, Zaida, who had been baptized as Isabel. (In a novel twist, Reilly suggested that there were two successive queens named Isabel: first the French (Burgundian) Isabel, mother of Sancha and Elvira, with Alfonso only later marrying his mistress Zaida (Isabel), after the death of or divorce from the first Isabel.) Alfonso was again widowed in mid-1107.
* By May 1108, Alfonso married his last wife, Beatrice. She, as widow of Alfonso, is said to have returned home to France, but nothing else is known of her origin unless she is the woman Orderic named as "Agnes, daughter of William, Duke of Poitou", who as relict of Alfonso, (Agnetem, filiam Guillelmi, Pictavorum ducis, relictam Hildefonsi senioris, Galliciae regis), remarried to Elias of Maine. If this is the case, she is likely daughter of William IX of Aquitaine and niece of Alfonso's first wife. Beatrice had no children by Alfonso.
El sucesor designado de Alfonso, su hijo Sancho, fue asesinado después de ser derrotado en la batalla de Uclés en 1108, haciendo a la hija legítima mayor de Alfonso, la viuda Urraca como su heredera. Con el fin de fortalecer su posición como su sucesor, Alfonso comenzó las negociaciones para que se casara con su primo segundo, Alfonso I de Aragón y Navarra, pero murió antes de que el matrimonio pudiera tener lugar, Urraca lo logró.
[editar] Notas
[editar] Enlaces externos
* IX Centenary of Leon-Castilla's King Alfonso VI (1109-2009)
* Alfonso VI on a Manuscript:.
Referencias
* This entry incorporates public domain text originally from the 1911 Encyclopedia Britannica.
* The Kingdom of León-Castilla under King Alfonso VI, 1065-1109, by Bernard F. Reilly (Princeton University Press, 1988): full text online at LIBRO.
* Portugal, A Country Study, by Louis R. Mortimer, ed. Washington, D.C.: Library of Congress, 1993.
Alfonso VI
Rei de Leão, Castela, Toledo e Galiza; Imperador de toda a Hispânia
Afonso VI de Leão e Castela, o Bravo (1039 — 1 de Julho de 1109) foi, até à sua morte, rei de Leão desde 27 de Dezembro de 1065, rei de Castela desde 6 de Outubro de 1072, rei da Galiza desde 1073, intitulado Imperator totius Hispaniæ (imperador de toda Hispânia) desde 1077 e rei de Toledo desde 1085.
Afonso VI terá casado cinco vezes e ficado noivo uma outra vez, para além de ter tido diversas ligações extra-matrimoniais:
O primeiro casamento em 1069 foi com Inês da Aquitânia, filha de Guilherme VIII, Duque da Aquitânia, matrimónio do qual não houve descendência, sendo anulado em 1077 devido à esterilidade da esposa.
Afonso negociou um noivado com Águeda da Normandia, filha de Guilherme I da Inglaterra, mas com o falecimento desta em 1080 - segundo algumas versões por desgosto com a perspectiva de casar com Afonso - o projecto foi frustrado.
O segundo casamento foi em 8 de Maio de 1081 com Constança da Borgonha, bisneta de Hugo Capeto. Até à sua morte em 1093, ela terá tido seis filhos, dos quais se conhecem:
Urraca (c. 1081-1126), dada em matrimónio a Raimundo da Borgonha e futura rainha de Leão e Castela
Elvira (1082-?), morreu jovem, tal como seus demais irmãos.
O terceiro casamento se realizou em 25 de Novembro de 1093 com Berta de Borgonha-Macon, filha de Guilherme I, Conde da Borgonha, que morreria sem gerar descendência.
O quarto casamento foi em 1098 com Isabel. Alguns historiadores defendem que seria uma nobre cristã, outros que seria a moura Zaida, viúva do rei Al-Mutamid da taifa de Sevilha, baptizada Isabel. Uma ou outra, até à sua morte em 1107 dar-lhe-ia três filhos:
Sancho Afonses (1098-1108), putativo herdeiro, morto na batalha de Uclés
Elvira (1100-1135), casada com Rogério II da Sicília
Sancha de Castela (1080 - 1134) casada com Rodrigo Gonzalez de Lara, conde de Liébana
O seu quinto e último casamento terá sido com Beatriz, possivelmente da Casa de Este ou da Aquitânia (talvez meio-irmã da primeira esposa dele, Inês), em 1108. Durante o ano de casados até à morte do monarca, não tiveram descendência.
De uma ligação ilegítima com Ximena Moniz, uma senhora galega, Afonso VI teve duas filhas bastardas:
Elvira de Castela (1071-1151), casada com o conde cruzado Raimundo IV de Toulouse
Teresa de Leão (c. 1080-1132), condessa de Portugal casada com Henrique de Borgonha, Conde de Portugal e mãe de D. Afonso Henriques
Fora do casamento, e de outra ligação ilegítima teve pelo menos uma filha:
N... Afonso de Leão (1045 —?) que foi casada com Fernão Mendes de Antas filho de Mendo Alão, Senhor de Bragança.
en: Wikipédia, a enciclopédia livre <http://pt.wikipedia.org/wiki/Afonso_VI_de_Le%C3%A3o_e_Castela>
Veja também:
Alfonso VI de León y Castilla <http://en.wikipedia.org/wiki/Alfonso_VI_of_Castile>
El-Rei D. Afonso VI de LEÃO <http://www.barrosbrito.com/1943.html>
Familias e individuos seleccionados <http://freepages.genealogy.rootsweb.ancestry.com/~hwbradley/aqwg879...>
Nota: Rey de León 1065 - 1109, de Castilla 1072 - 1109, proclamado Emperador de España 1077. Fue derrotado por su hermano Sancho, heredero de Castilla, en las batallas de Llantada en 1068 y Golpejera en 1072, A raíz de esta batalla ALfonso fue desterrado a Toledo; pero a la muerte de Sancho en el cerco de Zamora en 1072, recuperó los reinos de León, Castilla y Galicia, y ocupó La Rioja.
http://en.wikipedia.org/wiki/Alfonso_VI_of_Le%C3%B3n_and_Castile
http://genealogy.euweb.cz/iberia/iberia7.html#A6
Predecesor Fernando I Sucesor Urraca & Alfonso
Reinado rey de León: 1065-1072 1072-1109 Predecesor Fernando I, Sancho II Successo Sancho II, Urraca
Reinado del Rey de Castilla: 1072-1109 Predecesor Sancho II Sucesor Urraca
Reinado rey de Galicia y Portugal: 1071-1072 (conjuntamente con Sancho) 1072-1109 Predecesor García II, Sancho II Sucesor Sancho II, Urraca
Cónyuges: Inés de Aquitania, Constanza de Borgoña, 3 más...
Emitir
Urraca Sancho Alfónsez Infanta Sancha Elvira, Reina de Sicilia Elvira, Condesa de Toulouse Teresa, Condesa de Portugal
Casa
Casa de Jiménez
Padre: Fernando I de León y Castilla
Madre: Sancha de León
Alfonso VI apodado el Bravo o el Valiente, fue rey de León desde 1065, rey de Castilla y rey de facto de Galicia desde 1072. Tras la conquista de Toledo también se autoproclamó victoriosissimo rege in Toleto, et in Hispania et Gallecia Mucho romance se ha reunido en torno a su nombre.
Familia
Alfonso era el segundo hijo de Fernando el Grande y Sancha de León, hija de Alfonso el Noble y hermana de Bermudo III de León. Su padre fue rey de Castilla y león y emperador de España. A Alfonso se le asignó León cuando el reino se dividió tras la muerte de su padre. Castilla fue entregada a su hermano mayor Sancho y Galicia a su hermano menor García.
Accesión
Situación política en el norte de la Península Ibérica alrededor de 1065: dominios de García II (Galicia) Badajoz, debido a los dominios de García Sevilla, debido al tributo a los dominios de García Alfonso VI (León) Toledo, debido al tributo a los dominios de Alfonso Sancho II (Castilla) Zaragoza, debido al tributo a Sancho
Como medio de tres hijos del rey Fernando I de León y Sancha de León, Alfonso fue asignado León cuando el reino se dividió tras la muerte de su padre, mientras que Castilla fue entregada a su hermano mayor Sancho, Galicia a su hermano menor García, y las hermanas Urraca y Elvira dadas las ciudades de Zamora y Toro respectivamente. A cada uno de los hermanos también se le asignó una esfera de influencia entre los estados de Taifa. Alfonso parece haber dado el primer paso en violar esta división, en 1068 invadiendo el cliente gallego Taifa de Badajoz y extorsionando tributo. En respuesta, Sancho atacó y derrotó a Alfonso en Llantada, pero tres años más tarde, en 1071, unieron fuerzas contra García. Sancho sobrecostó el León de Alfonso para conquistar las tierras del norte de García, mientras que el propio Alfonso se encuentra emitiendo cartas en la parte sur del reino gallego. García huyó a la taifa sevillana, y los hermanos restantes se volvieron el uno contra el otro. Este conflicto culminó en la Batalla de Golpejera a principios de enero de 1072. Sancho resultó victorioso y el propio Alfonso se vio obligado a huir a su cliente Taifa de Toledo. Más tarde ese año, cuando Sancho estaba limpiando el último de la resistencia, asediando a su hermana Urraca en Zamora en octubre, fue asesinado, abriendo el camino para que Alfonso volviera a reclamar la corona de Sancho. García, inducido a regresar del exilio, fue encarcelado por Alfonso de por vida, dejando a Alfonso en control indiscutible de los territorios reunidos de su padre. En reconocimiento a esto y a su papel como monarca cristiano preeminente en la península, en 1077 Alfonso se proclamó "Emperador de toda España".
En el cantar de gesta El laico del Cid, interpreta el papel atribuido por los poetas medievales a los reyes más grandes, y al propio Carlomagno. Es alternativamente el opresor y la víctima de nobles heroicos y voluntariosos, los tipos idealizados de los patrones para quienes cantaban los jongleurs y trovadores. Es el héroe de un cantar de gesta que, como todos menos muy pocos de los primeros cantos españoles, como el cantar de Bernardo del Carpio y los Infantes de Lara, existe ahora sólo en los fragmentos incorporados en la crónica de Alfonso el Sabio o en forma de balada.
Su huida del monasterio de Sahagún (Safagún en lengua leonesa), donde su hermano Sancho se esforzó por encarcelarlo, su amistad caballeresca con su anfitrión Almamón de Toledo, caballero aunque moro, "caballero aunque moro", la lealtad apasionada de su vasallo, Pero (Pedro) Ansúrez, y su amor fraternal por su hermana Urraca de Zamora, pueden deberle algo al poeta que lo tomó como héroe.
Son la respuesta al poeta de los nobles que representaba al rey como si se hubiera sometido a prestar un juramento degradante a manos de Rodrigo Díaz de Vivar (El Cid) para negar la intervención en la muerte de su hermano en la iglesia de Santa Gadea de Burgos, y como haber perseguido entonces al valiente que le desafió.
Luchador fuerte
Cuando se hace cada concesión, Alfonso VI se destaca como un hombre fuerte que lucha como un rey cuyo interés era la ley y el orden, y que fue el líder de la nación en la reconquista. Se impresionó a sí mismo en los árabes como un enemigo muy feroz y astuto, pero como un guardián de su palabra. Una historia de origen musulmán cuenta cómo se permitió
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http://cihispanoarabe.org/news/zaida-reina-de-castilla-y-leon/
Dª. Zaida (Isabel), reina de León
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Sancho Alfónsez, Infante de Cas...
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Isabel
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Elvira Alfónsez, infanta de Cas...
hija
Sancha Alfónsez, Infanta de Cas...
hija
Berta de Borgoña, regina de León
esposa
Jimena Muñoz
socio
Teresa de Leão, condesa de Por...
hija
Elvira Alfonso, condesa de Tolosa
hija
Constanza de Borgoña, Reina co...
esposa
Urraca I, reina de Castilla y León
hija
Inés de Aquitania
ex esposa
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Agregado por: Ing. Carlos Juan Felipe Urdaneta Alamo, MD.IG.
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